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vendredi 30 septembre 2011

Récits d'Alain : qui paie ses dettes, s'enrichit avec les fesses rouges !!!


A l’examen des relevés bancaires reçus ce samedi matin, je m’aperçus que Sylvie avait fait là un chèque sans provision … une belle somme … je lui demandais quelques explications.
Sylvie avait tout simplement lors d’un passage à la banque avait signé un virement et en même temps rédigeait un chèque du même montant, sans s’en apercevoir et de toute façon j’aurais du m’en apercevoir affirma-t-elle … mais ce jour-là, je ne l’avais pas accompagnée à la banque …c’en était trop et il était grand temps qu’elle sache qu’à presque 30 ans ce qu’était une vraie bonne fessée qui lui enflammerait le derrière au point que le contact de sa culotte et de sa jupe lui rappellerait de longues minutes encore après et la ferait réfléchir !!!
La matinée et l’après-midi se déroulèrent normalement … nous devions sortir ce samedi soir et Sylvie me demanda de conclure avant notre soirée plutôt qu’après … elle était vêtue d’une ravissante robe noire pour la soirée à venir . Je m’installais dans le salon, au milieu du canapé où j’avais décidé de m’installer pour la fesser car la fessée devant être longue, autant profiter de bonnes conditions de confort, autant pour elle que pour moi … Sylvie me rejoint dans le salon, se dirigea vers la fenêtre pour en tirer les doubles rideaux … alluma une lampe d’ambiance et retourna vers la porte où les mains croisées dans le dos et l’air penaud, elle attendait !!! je lui dis de s’approcher du canapé, de retrousser sa robe jusqu’à la taille et de baisser sa culotte avant de s’allonger en travers de mes genoux … elle s’approcha … s’agenouilla sur le bord du canapé, sur mon côté droit … mais refusa de remonter sa robe et de se déculotter … mais se pencha et de se coucha sur mes genoux … je passais ma main sous la robe que je retroussais généreusement au-dessus de sa taille, puis la main sous l’élastique du collant et Sylvie me facilita la tâche en prenant  appuis sur ses genoux et soulevant son bassin  … je la déculotte donc généreusement, baissant le collant et la culotte jusqu’à mi-cuisses … je lui serrais la taille … je vis ses fesses se contracter … se serrer si fortement que les deux globes fessiers se rejoignaient … sans perdre de temps commençais à la fesser … intensément … longuement … sérieusement … sans faiblir … de longues minutes … sans perdre de vue la paire de fesses que j’avais sous les yeux, changeant de couleur sous les claques … passant du chair clair au rose clair … où ma main s’imprégnait de ses cinq doigts au fur et à mesure … puis du rose au rouge … puis du rouge clair au rouge foncé …observant mon « ouvrage » … plus le temps passait, plus les fesses tressautaient sous les claques … Sylvie avait le visage plongé dans les coussins et tenait des deux mains l’accoudoir du canapé … les claques continuaient à tomber, à crépiter… pas un cri … pas un mot … pas un battement de jambes … je ne mesurais pas le temps, ni comptais les claques… quand la paume de ma main devint brûlante, je décidais de m’arrêter, aussi brusquement que j’avais commencé … Sylvie se releva … les yeux embués de larmes … quitta le salon, se frottant le derrière des deux mains par-dessus la robe… retourna dans la chambre d’où elle revint quelques minutes plus tard et remontant sa robe sur ses hanches, me tendit ses fesses écarlates et en baissant collant et culotte pour m’annoncer :
S : « je me vengerai !!! »

mardi 27 septembre 2011

Récit d'Alain : une fessée "post-nuptiale" !!!


Suite à cette fessée et quand nous en reparlions, Sylvie acceptait de bon cœur que rien de tel qu’une bonne fessée jupe retroussée et pourquoi pas culotte baissée pour résoudre les bouderies, caprices, disputes, surtout quand elle se comportait comme une gamine et que je ne m’en fasse pas pour ses rondeurs suffisamment fermes et musclées et que même si c’était de longues minutes désagréables, il suffisait de serrer les dents et les fesses, d’attendre que l’orage passe et cela finirait bien par cesser au prix de quelques rougeurs !!!
 
Nous nous étions mariés en juin 81 et depuis l’été passé, il n’avait plus été question de fessée entre nous, même pas sous forme de menace ; deux mois après notre mariage, nous fûmes invités à celui de deux de nos meilleurs amis, Marc et Christiane, qui avaient décidé de ne se marier qu’entre les deux témoins que nous étions tous deux. Sylvie avait prévu et promis depuis de nombreuses semaines d’acheter les fleurs, si bien que le samedi matin du mariage, je pensais que nous n’avions plus qu’à les récupérer et rejoindre les futurs mariés à la mairie. Absent toute la semaine, j’étais rentré tôt le matin même du mariage, à notre appartement où Sylvie m’attendait déjà prête, habillée pour la cérémonie élégante en tailleur gris, les jambes gainées de nylon du même ton, chaussée d’escarpins.
 
Pendant que je me préparais, une fois douché et rasé, je pensais n’avoir plus qu’à prendre avec elle le chemin de la mairie lorsque Sylvie s’énerva,  m’incita à me dépêcher et finit par m’avouer qu’elle ne s’était pas occupée du tout des fleurs et qu’il fallait ne pas perdre de temps pour aller en chercher et surtout en trouver moins de deux heures avant la mairie. Finissant de me préparer, j’entendais Sylvie continuer à tempêter, jusqu’à ce que je l’entende m’accuser d’avoir négligé d’acheter les fleurs. Je sortis de la salle de bain et une fois dans le salon, je la trouvais trépignant des deux pieds sur la moquette telle  une gamine capricieuse.
 
Cela en était trop. Je l’entraînais par la main vers notre chambre, m’asseyait sur le bord de notre lit, sans hésitation la renversais allongée en travers de mes genoux. Devinant ce qui allait lui arriver, elle ne se laissait pas faire, se trémoussant dans tous les sens, ruant des jambes …
 
S : « ,arrêtes nous allons être en retard … d’accord je mérite la fessée … tu n’auras qu’à me la donner ce soir au retour … »
 
Mais il n’était pas question d’attendre ce soir … je lui saisissais les poignets, les lui rabattais dans le dos et retroussais la jupe du tailleur, la rabattais sur sa taille …
 
S : « s’il te plait pas comme ça … donne moi la fessée par dessus ma jupe … »
 
Je découvrais une jolie paire de bas gris du plus bel effet, avec culotte et porte-jarretelles dans le même ton … Toujours sans perdre de temps, de ma main libre, saisissant l’élastique de la ravissante culotte , je la lui descendais, mais elle se coinça avec les jarretelles juste sous ses fesses …
 
S : « oh non pas ma culotte … ça fait trop mal …NON !!! « 
 
Je posais ma main droite bien à plat sur l’une de ses fesses comme pour en prendre la bonne mesure … instinctivement, Sylvie serra  les fesses, les durcit comme du marbre, pressentant la bonne fessée qu’elle avait cherchée et qu’elle allait recevoir !!!
 
Je levais la main … Une avalanche de claques sonores s’abattirent sur la croupe rebondie de Sylvie qui virait peu à peu du rose à un beau rouge vif à mesure que progressait la fessée, arrachant des cris de rage et de douleur à ma jeune épouse, serrant du plus fort qu’elle pouvait ses fesses rondes qui tressautaient sous les gifles. Sylvie eu beau crier, supplier, menacer, promettre rien n’y fit et les yeux fixés sur les globes fessiers qui tressautaient sous les claques, je ne perdais rien du spectacle … je suis sûr qu’elle grimaçait, serrant à pleine les dents les draps du lit, retenant par fierté ses larmes de honte, de rage, de douleur …
 
Après de longues minutes rythmées par le battant de la paume de ma main sur le fessier dénudé de Sylvie, vu sa couleur, mais sa chaleur, je m’arrêtais… Relâchant mon étreinte, Sylvie se releva, fesses et joues écarlates, des larmes au fond des yeux et disparut de la chambre, jupe retroussée et fesses à l’air … Finissant de me préparer, je la retrouvais dans le salon, repassant la jupe de son tailleur en chemisier, bas et escarpins, les fesses écarlates, tranchant sur le gris de ses dessous et de ses bas.
 
Nous trouvâmes des fleurs et le mariage eut lieu, ainsi que les photos des mariés avec nous. Quelques années plus tard, en soirée, nos amis nous projetèrent les photos du mariage et nous apparaissions tous deux sur l’une d’entre elles, Sylvie me tenant par l’épaule, ma main lui enserrant la taille et les hanches. Durant cette projection, elle se pencha à mon oreille et me murmura :

 « Tu te souviens de la fessée que tu m’as donnée ce matin là ? Mes fesses en frémissent encore !!!
 


 « Tu te souviens de la fessée que tu m’as donnée ce matin là ? Mes fesses en frémissent encore !!!

mardi 20 septembre 2011

Les récits d'Alain : L'art de prendre en main sa secrétaire particulière... (suites)


Episode 2 : la première on la cherche, la deuxième on la regrette !!!
Je pensais que cette fessée la ferait réfléchir et considérais cette affaire comme classée, mais quelques semaines plus tard, en cours de matinée, je la surpris à nouveau, au bureau, alors qu’elle allait allumer une cigarette. La sermonnant à nouveau, je lui annonçais, sans sourire cette fois, qu’elle avait gagné encore une fessée recevable sur l’instant … Je la recouchais en travers de mes genoux, retroussais sa jupe rouge, découvrant un collant chair et des dessous gris perlé et à nouveau la fessais, aussi fermement que la première fois, mais beaucoup plus longuement. Martine se débattit plus énergiquement, battant des jambes dans tous les sens, tentant des d’une main de protéger ses fesses, main que je saisis et lui rabattis dans le dos, criant des « aïe », « ouille », « maman », mais rien n’y fit et je ne m’arrêtais que lorsque la paume de ma main droite était brûlante, tandis que les fesses de Martine sous son collant étaient aussi rouges que sa jupe !!!
Martine se releva se massant cette fois, les fesses à deux mains sans même prendre le temps de rabattre sa jupe, regardant par-dessus son épaule l’étendue des dégâts et se tournant vers moi, de dos, toujours jupe retroussée à la taille, m’invita, à constater l’ampleur des rougeurs, ce que je fis et me certifia que ses fesses brûlaient, chauffaient et cuisaient et qu’elle n’allait pas pouvoir s’asseoir de suite … ce qui ne l’empêcha pas se joindre quand même à moi pour aller déjeuner, mais durant le repas elle s’assit du bout des fesses sur sa chaise et plusieurs fois tantôt sérieusement, tantôt sous le ton de la plaisanterie, elle m’annonça qu’elle sentait ses fesses, malgré l’épaisseur de la jupe, du collant et des dessous.
Notre travail et notre collaboration dans le travail  continuèrent et parfois, en souriant, Martine évoquait ses deux fessées, les commentait et m’affirmait qu’elles renforçaient notre amitié car elle avait entièrement confiance en moi et pensait que ce « jeu » qu’elle qualifiait d’érotique ne pouvait se pratiquer qu’entre adultes consentants et confiants.

Episode 3 : la première on la cherche, la deuxième on la regrette ... les suivantes, on les subit !!!
Deux saisons, hiver et printemps, s’étaient donc suivies, avec deux fessée saisonnières … et l’été arriva. Au retour des vacances, nous nous retrouvâmes et même si Martine avait ralenti sa consommation de cigarettes, du moins au bureau, elle essayait toujours de fumer en cachette, sans se faire surprendre durant nos déplacements. Ce même matin, quelques jours après la reprise, tandis que Dominique était à son tour en vacances, je l’avais complimentée sur son bronzage et l’avait taquinée en lui demandant s’il était intégral, ce à quoi elle m’avait répondu que le bronzage chez les femmes, c’était comme le rôti chez les poulets, seul le blanc était le meilleur !!! L’après-midi même, je la surprenais allumant une cigarette au bureau, à croire qu’elle le faisait exprès et qu’elle devait aimer recevoir la fessée !!! Connaissant la punition qu’elle encourait, elle ne fit aucune objection et se retrouva comme les fois précédentes en position couchée en travers de mes cuisses, bien installée, mais cette fois, après avoir retroussé, en prenant mon temps sa robe d’été, tout en la maintenant plus fermement par la taille, que les deux fois précédentes, je pris l’initiative, que jusqu’à ce jour j’avais réservé à ma femme, de déculotter Martine pour la fesser. Alors qu’elle se préparait à la fessée en serrant bien ses fesses, je sais l’élastique de sa culotte type « brésilien » et la lui rabattis jusqu’aux genoux, déculottant et dévoilant un derrière dont la pâleur tranchait sur le bronzage des cuisses de sa propriétaire, laquelle fit ce commentaire d’une voix angoissée :  « Oh … non … pas comme ça !!! »
Mais elle eut beau contester, se débattre, essayer même de remettre en place sa petite culotte, rien n’y fit et Martine apprit qu’il n’était jamais trop tard pour recevoir une bonne fessée « cul nu », comme une sale gamine ; je pris tout mon temps pour la fesser, soignant mon ouvrage, m’appliquant à donner aux fesses un hâle rougeâtre pour rapprocher leur teinte du hâle des cuisses et jambes bronzées battant l’air, tandis que Martine hurlait, menaçait, suppliait, promettait tout et n’importe quoi, ses rondeurs si fermes dès les premières claques, essayaient de se serrer, de se contracter, mais tressautaient dans tous les sens sous l’impact des gifles qui les claquaient, y laissant gifle après gifle, sur chaque fesse, l’empreinte de ma main, empreinte qui rosissait, rougissait au fur et à mesure du temps qui passait sous forme de longues minutes rythmées par le bruit sec des claques sur la peau nue !!!
A la fin, Martine resta prostrée en travers de mes cuisses, les fesses toujours à l’air, écarlates, avant qu’elle se redresse, se relève et se reculotte en grimaçant, les yeux embués de larmes, son maquillage ayant coulé sur ses joues, sanglotant … à genoux sur la moquette du bureau, les mains sous la robe, se frottant à deux mains le derrière, elle me demanda ce qui pouvait lui arriver de pire qu’une telle fessée robe retroussée et culotte baissée, ce qui ne lui était pas arrivée depuis l’âge de quinze ans, suite à de mauvais résultats scolaires, et de la main de sa mère, si elle persistait à fumer.
Sans hésiter, je lui affirmais que les prochaines fessées seraient toutes semblables à celle qu’elle venait de recevoir, mais que si jusqu’à présent, elle avait été fessée dans l’intimité et la discrétion, entre elle et moi, il se pourrait à l’avenir que sa copine Dominique le sache et assiste aux prochaines fessées … et qu’il ne fallait pas qu’elle attende de la part de Dominique à de la solidarité féminine, car quand la fessée est en jeu, il n’y a pas de solidarité entre « filles » et que le spectacle de la fessée la ferait bien rire, sauf bien sûr, elle, Martine !!!
Martine ralentit sa consommation de cigarettes, ne fuma plus jamais au bureau ou ne se fit jamais plus surprendre à le faire et depuis quelques années, elle ne fume plus une seule cigarette !!!

jeudi 15 septembre 2011

Les récits d'Alain : L'art de prendre en main sa secrétaire particulière ..


Au début des années 90, j’ai partagé pendant cinq années le même bureau que Martine qui était ma secrétaire attitrée. C’était la secrétaire idéale, mais elle avait un gros défaut : celui de fumer cigarette sur cigarette, profitant de mes absences pour enfumer le bureau. 
Nous en avions déjà parlé et Martine m’avait demandé de l’aider à ralentir sa consommation de tabac. J’avais tout essayé, lui faisant calculer ses dépenses en tabac pour lui montrer tout l’argent qui s’envolait en fumée, lui confisquant cigarettes ou briquet…, mais rien n’y faisait ! Un jour, en plaisantant autour d’une tasse de café, je lui affirmai que je ne voyais plus qu’une solution si je la surprenais encore à fumer : la fessée, une vraie bonne fessée classique, jupe retroussée, dans le même style que celles que ma femme recevait lorsque nous étions jeunes mariés et qu’elle me raccrochait au nez au cours d’une conversation téléphonique ou lorsqu’elle faisait des chèques sans provision. Ceci fit bien rire Martine qui  se vanta même que j’aurais mal aux mains avant qu’elle n’ait mal aux fesses car avec toute la gymnastique et la natation qu’elle pratiquait, ses fesses étaient musclées et de plus, elle n’hésiterait pas à les serrer !
Un soir, rentrant de réunion, je découvris dans une atmosphère enfumée, Martine assise jambes croisées, fumant sa cigarette, qui m’attendait pour évaluer son travail du lendemain. Je lui donnai quelques explications et au moment de partir, je lui rappelai les termes de notre contrat sur sa cure anti-tabac et lui annonçai qu’elle venait de gagner la fessée qui était en sursis depuis plusieurs semaines, ce qui ne sembla ni l’impressionner, ni la terroriser. Martine portait un pull sur une jupe noire assez courte, ses longues jambes étaient gainées de nylon noirs, bas ou collant, ce serait la surprise !!! Je m’assis sur le bord de son bureau, l’attirai à moi et la renversai sur mes genoux, elle bascula vers l’avant, sa poitrine contre le bureau, se tenant au bord du même bureau, les jambes pendant dans le vide. Tout en la maintenant par la taille, je lui rappelais les termes de notre contrat et remontai sa courte jupe moulante au dessus de la cambrure de ses reins, remarquant avec un certain regret qu’en guise de bas, elle portait un collant noir, dissimulant à peine une ravissante petite culotte noire, elle aussi. En guise de protestations, Martine me demanda de ne pas trop froisser sa jupe et de veiller à ne pas filer son collant, n’en ayant pas de rechange !!! Cela la fit rire légèrement de se retrouver troussée sur mes genoux, m’offrant une vue imprenable depuis ses escarpins, jusqu’à ses hanches.
Sans attendre, je lui claquais énergiquement et alternativement chaque fesse ... Les premières claques la surprirent, car malgré l’épaisseur du collant, je devinais la mollesse des fesses, mais rapidement Martine se ressaisit et je pus en direct voir ses fesses se contracter sous le collant opaque … Au bout de quelques minutes et plusieurs dizaines de claques bien assénées, Martine commença à moins rire et émit des « aïe », « ouille », tout en tortillant des fesses entre chaque claque … Depuis mon point de vue plongeant, non seulement je voyais ses fesses rosir, puis rougir, tressauter sous chaque impact de la paume de ma main, fesses qu’elle contractait de moins en moins fermement, tandis qu’elle serrait de plus en plus le bord du bureau de ses deux mains, cambrant des jambes et des hanches chaque fois qu’une claque tombait sur ses fesses … Au bout de longues minutes et plusieurs dizaines de paires de claques, elle demanda grâce m’expliquant qu’elle avait le « rouge qui lui montait au front ». Je ne voyais pas son front, mais malgré ses dessous opaques, je constatais que le rouge envahissait toute la surface de ses rondeurs. Je concluais par quelques claques bien senties et rapides, la surprenant et provoquant encore plus de ruades et battements de jambes, avant d’arrêter et de l’inviter à se relever. Martine se releva sans faire de commentaire, les joues aussi rouges que ses fesses, rabattant sa courte jupe sur ses rondeurs, mais en se les frottant quand même à deux mains sous le tissu.


Quittant ensemble le bureau en ce soir d’hiver, une fois à l’extérieur, elle me fit ce commentaire :
 
« j’ai les pieds gelés, mais qu’est-ce que j’ai chaud aux fesses !!! »
 
Je pensais que cette fessée claquante et cuisante, allait la faire réfléchir sans penser que quelques mois plus tard …  

jeudi 8 septembre 2011

Les récits d'Alain : Fessée entre lycéen et lycéenne de terminales


J’ai terminé mes études secondaires comme pensionnaire dans un établissement mixte. Bien qu’en Terminale nous soyons presque tous majeurs, notre tenue vestimentaire était restée très classique et les filles portaient la tenue des jeunes-filles sages de l’époque (cheveux souvent longs réunis en queue de cheval ou retenus par un serre-tête, pull ou gilet bleu sur un chemisier clair, jupe plissée, chaussettes blanches et chaussures plates ou à petits talons). 
L’école était équipée d’un laboratoire de langues isolé sous les combles auquel nous avions librement accès en prenant la clé à la conciergerie, mais seuls les internes l’utilisaient le mercredi après-midi. Ce jour là, j’y travaillais mon anglais avec Catherine, une bonne camarade. Après une bonne heure de travail studieux, Catherine commença à me taquiner et se vanta d’arriver à me « pousser à bout » (moi qui ne m’énervais jamais !). A force d’insister, elle y parvint et, lorsque que je lui annonçai que j’allais me « venger » , elle s’enfuit à toutes jambes, en fermant à clé la porte de la pièce derrière elle. Je restais ainsi prisonnier dans le petit laboratoire, une bonne partie de ce mercredi après-midi, enrageant de perdre mon temps,  ma colère et mon impatience montant au fur et à mesure que le temps passait !
Enfin, la clé tourna dans la serrure, la porte s’ouvrit et une nouvelle Catherine apparut toute souriante du mauvais tour qu’elle m’avait joué. La lycéenne en uniforme avait fait place à une jeune femme cheveux défaits,  vêtue d’un pull rouge, d’un kilt court, de collants bleu marine et d’escarpins. Elle m’annonça qu’elle était sortie en ville faire quelques achats, mais que prise de remords – ce que je ne crus pas un seul instant ! – elle revenait me libérer.
Je lui déclarai que malgré ses 19 ans, elle n’était qu’une sale gamine et en souriant et se moquant visiblement de moi, elle rétorqua : 
« Si tu veux te venger, tu n’as qu’à me donner une fessée comme à la sale gamine !!! »
La fessée… la fessée pour Catherine… Je trouvai cela à la fois amusant et un peu excitant, mais je lui avouai n’avoir jamais fessé personne et encore moins une fille de mon âge… Avec un sourire de plus en plus coquin, elle m’avoua avoir envie de tenter l’expérience mais que je devais me dépêcher avant qu’elle ne change d’avis… Après tout pourquoi pas ?…
« Et pourquoi pas !!! «  lui déclarais-je, les yeux dans les yeux.
Catherine sortit dans le couloir pour inspecter l’étage, jusque dans le escaliers, avant de revenir et de verrouiller la porte derrière elle. Elle installa une chaise dans un coin éloigné des fenêtres, m’invita à m’y asseoir et m’annonça la règle du jeu : ignorer ses suppliques et ruades, mais arrêter la fessée dès qu’elle me le demanderait. Et qu’elle prononcerait : « Pouce, ça suffit, je ne joue plus !!! »
Je m’asseyais donc sur la chaise … Catherine s’allongea à plat ventre en travers de mes cuisses, les mains à plat sur le sol d’un côté et les escarpins en pointe sur le plancher de l’autre, le derrière surélevé … sa courte jupe remonta si haut que je pouvais apercevoir la démarcation de son collant … D’une main, je la maintenais à la taille pour qu’elle ne risque pas de glisser et de tomber, mais aussi pour l’empêcher de se relever et de s’échapper, tandis que de l’autre, je me mis à tapoter le fond de son kilt tendu sur son derrière… Mais la tentation étant trop forte, j’y cédai en accélérant la cadence et la fermeté des claques …
Catherine qui n’avait pas réagi jusque là m’apostropha :
  « Dis-moi, tu manques vraiment d’audace ! Ce n’est pas une fessée ça : je ne sens rien ! Tu ne sais donc pas qu’une bonne fessée se donne jupe retroussée ?
L’occasion était trop belle et je me lançais sans me le faire répéter ! Ma main glissa sur ses jambes gainées de nylon et retroussa sa courte jupe jusqu’au-dessus de sa la taille, pour la rabattre au creux de ses reins. Je devinai alors une ravissante petite culotte blanche sous le collant opaque puis, le rouge aux joues, je me mis à frôler ses fesses que je sentais chaudes, fermes et tendues mais Catherine me fit retomber sur terre :
« Tu ne dois pas me donner une bonne fessée ? Qu’est-ce que tu attends ?  »
Je n’avais d’autre choix que de m’exécuter et je levai bien haut mon bras et le bruit que fit la première claque tombant sur son derrière tendu me surprit et je ne dus pas être le seul si j’en crois le « aïe ! » que poussa Catherine n se cabrant jambes tendues … Puis je me pris au jeu et la tenant fermement par la taille, je lui claquai alternativement une fesse puis l’autre. Elle répondait à chaque gifle par un cri plaintif en serrant les fesses tout en les tendant vers moi. Ma main s’abattait sur chacune de ses rondeurs avec entrain et fermeté et bientôt elles, si fermes au début, devinrent plus molles et ne se contractaient plus après chaque claque, tandis que malgré l’opacité du collant, je les voyais se teinter de rouge. Avec le rythme soutenu et la sévérité de la fessée qui s’abattait régulièrement et alternativement d’une fesse à l’autre, toujours avec la même énergie et ardeur, Catherine gigotait de plus en plus tout en battant énergiquement l’air de ses jambes, elle en perdit même ses chaussures !
Cela faisait de longues minutes que je la fessais lorsqu’elle me demanda d’arrêter. Respectant la règle établie au départ, je cessai immédiatement mais non sans regret ! Toujours allongée sur mes genoux, Catherine, se massait à deux mains le derrière tout en commentant sa fessée affirmant qu’elle n’aurait jamais pensé qu’un garçon « aussi gentil et aussi poupon » que moi puisse avoir une telle poigne. Moi, je profitais du spectacle qu’elle m’offrait et j’admirais mon œuvre en constatant que ses fesses semblaient bien rouges à travers le bleu foncé du collant et le blanc de la culotte !
Catherine se releva en rechaussant ses escarpins pour s’asseoir sur mes genoux. Elle posa sa tête contre mon épaule comme pour se faire pardonner et me chuchota à l’oreille que sa mère lui donnait encore la fessée malgré ses 19 ans lorsqu’elle rapportait un mauvais bulletin de notes et qu’elle ne se contentait pas de retrousser sa jupe mais que le plus souvent elle lui baissait aussi la culotte…tandis que je sentais la chaleur de son derrière sur mes cuisses malgré les épaisseurs de son kilt et de mon pantalon.
Nous serions bien restés ainsi des heures mais l’heure de dîner avait sonné. Nous nous dirigeâmes donc tous deux vers le réfectoire, comme si rien ne s’était passé et nous nous installâmes l’un en face de l’autre … pendant tout le repas, Catherine n’arrêtait pas de bouger sur son tabouret en grimaçant et en me souriant .

mardi 6 septembre 2011

Les récits d'Alain : une double fessée da sa tante


Voici le dernier récit de mes fessées d'adolescent, celle reçue de la main de ma tante à la fin du collège, juste avant de rentrer au lycée, pendant les vacances

Je garde le souvenir d’une magistrale fessée reçue de la main de ma tante alors qu’à l’âge de 16 ans, j’allais rentrer au lycée en septembre. 

Ma tante, âgée d’une trentaine d’années, était à la fois professeur de français, d’anglais et de latin. Afin de me préparer à cette rentrée, elle avait décidé de me faire faire chaque matin de la semaine durant les vacances des révisions en anglais et latin, langue que j’avais abandonnée en classe de quatrième au profit de l’allemand. Cependant, ma tante ne l’entendait pas ainsi. J’ignorais alors à quel point elle pouvait être stricte en exerçant son métier de professeur. Bon gré mal gré, je dus me plier à sa volonté et travailler, du moins les deux premières semaines de juillet, avant de cesser tout effort pour cette langue. Ma tante ne tarda pas à découvrir que je « séchais » son latin et me demanda des explications. Je lui répondis que cette langue ne me servirait plus à la rentrée puisque j’avais choisi de l’abandonner au profit de l’allemand. Malgré mes 16 ans, ma tante me sermonna, affirmant que c’était elle qui décidait de mes révisions et que je devais travailler sinon elle me prendrait en main et me punirait comme un « gamin de sixième » et que j’aurais affaire à elle non pas en tant que tante, mais en professeur et qu’elle n’hésiterait pas à me donner une « bonne fessée » pour me faire travailler ! Jamais je n’avais deviné une telle autorité chez ma tante, néanmoins sa menace de me fesser me fit sourire.
 « Tu peux sourire, mais sache que je n’hésiterai pas à baisser ton pantalon et à te prendre sur mes genoux pour t’administrer une bonne fessée déculottée ! »
La semaine passa sans que je me donne la peine de faire mes devoirs. Le lundi suivant en fin de matinée, ma tante me demanda de lui présenter mes devoirs. Bien entendu, malgré la menace, je n’avais rien fait. J’avais du mal à imaginer ma tante que j’adorais et adore toujours, guère plus grande que moi d’une tête, me fesser comme un gamin alors qu’elle ne m’en avait jamais menacé jusqu’alors !  Elle allait me prouver le contraire… Se plaçant face à moi, les bras croisés, elle m’annonça :
 « Je t’avais prévenu, jeune homme ! Toi et moi, allons avoir un entretien particulier… du moins ma main et tes fesses. Suis-moi dans mon bureau ! »
Et comme si elle craignait que je lui désobéisse, elle me prit par la main et m’entraîna au fond du couloir vers la pièce qui lui servait de bureau. Dès que nous fûmes entrés, elle verrouilla la porte derrière elle, referma la fenêtre et en tira les rideaux. Ensuite, elle plaça une chaise au milieu de la pièce sur laquelle elle s’assit tout me faisant signe de l’index de m’approcher. Je n’osais pas croire dans son intention de me punir, pensant qu’elle voulait simplement m’intimider, mais je m’avançai vers elle et me laissai guider sur sa droite, tout contre sa cuisse.
Là, avant que je puisse protester, elle déboutonna mon jean qu’elle fit tomber à mi-cuisses. Mon slip suivant le même chemin, je me retrouvai les fesses nues. De la main gauche, elle me fit courber en travers de ses cuisses où je me retrouvai tête en bas et derrière en l’air. J’essayai de me redresser, mais elle me saisit fermement par la taille en disant :
   « Je t’avais prévenu, et je vais maintenant t’apprendre qu’il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée ! »
Sans perdre de temps, son autre main entra en action et se mit à claquer mes fesses dénudées avec vigueur. A la fois surpris et honteux d’exhiber ainsi mes fesses nues et de me faire fesser par ma tante, j’essayais de me protéger des deux mains dès les premières claques. Ma tante devait s’y attendre car elle relâcha ma taille pour saisir mes poignets et les bloquer sur mes reins avant de reprendre sa fessée. Malgré la douleur et la chaleur qui commençaient à envahir de mon derrière, je reçus cette fessée sans plus rien faire pour me dégager, mes fesses tressautant sous les claques que ma tante distribuait généreusement et fermement, sa main claquant tour à tour une fesse puis l’autre, accroissant peu à peu une cuisson douloureuse contre laquelle je luttais en serrant et les fesses et les dents. Enfin, au bout de minutes qui me semblèrent interminables et de plusieurs dizaines de claques vigoureuses, elle cessa la fessée pour m’annoncer : « Cette fessée était celle du professeur … maintenant voici celle de ta tante ! »
Et le déluge de claques reprit, à une cadence encore plus rapide et plus intense qu’auparavant et qui semblait ne plus vouloir jamais s’arrêter… Tout en criant de douleur, je commençai à me débattre, à remuer les jambes et à me trémousser pour tenter d’échapper aux claques abominablement cinglantes.
« J’espère que cette fessée va te servir de leçon ! Et je ne m’arrêterai que lorsque j’estimerai que tu seras convenablement puni pour ta paresse ! Tant que tes fesses ne seront pas devenues écarlates, je continue ! » Ma tante redoublant de vigueur, l’intensité de la fessée devint intolérable. J’ignore combien de temps dura cette fessée, mais elle fut longue, retentissante, cuisante et surtout très humiliante. Je crois bien que dans cette pièce les seuls bruits que l’on devait entendre durant ce moment furent ceux des claques sur mes fesses dénudées et de mes cris et supplications. Du reste, ce fut en larmes que je suppliais ma tante d’arrêter en lui promettant de ne plus la décevoir, de faire tous mes devoirs et d’être très obéissant. Elle cessa la fessée aussi brusquement qu’elle l’avait commencée, me fit me relever de ses cuisses.
Moi de nouveau debout, je m’empressai de frictionner et de masser à deux mains mes fesses endolories en espérant atténuer l’affreuse cuisson tandis que des larmes coulaient sur mes joues. Remontant mon slip puis mon pantalon, je m’aperçus que je supportais difficilement le contact direct du tissu sur mes fesses brûlantes. En sortant de son bureau ma tante affirma d’un ton qui n’admettait pas la réplique :
« Et sache bien que je suis prête à recommencer à te fesser aussi souvent qu’il le faudra pendant toutes les vacances si tu persistes à ne pas m’obéir ! »
Et c’est assis sur le bout des fesses que j’avalais le déjeuner, tant la peau continuait à picoter. La leçon avait été apprise car, grâce à mes efforts pour apprendre le latin, ma tante ne renouvela pas cette fessée redoutable

lundi 5 septembre 2011

Les récits d'alain : ou ce que cela coûte à 14 ans de regarder sous les jupes de la voisine âgée de 25 ans !!!/


Collégien, à l'age de 14 ans, je passais une partie des vacances, chez mes grands-parents ! Ces derniers logeaient dans une grosse  maison de ville occupée au rez de chaussée par les propriétaires, puis le 1er étage par mes grands parents, et enfin le second étage partagé entre un grenier et un studio occupé par une jeune voisine, Josette, célibataire, coiffeuse en ville, agée entre 25 et 30 ans, et une chambre où je faisais mes devoirs et dormais lorsque je séjournais chez eux !
Chaque fois que je me trouvais en même temps que cette voisine au niveau des escaliers, je la laissais prendre de l'avance pour jeter un coup d’œil sous ses jupes très courtes et apercevoir la lisière de ses bas et ses jarretelles ! En ce début des années 70, Josette n'avait pas encore opté pour le collant !
  Une fin d'aprés-midi, alors que mes grands parents s'étaient absentés, et que je revenais d'une séance de sport, je montais une nouvelle fois derrière Josette qui portait ce jour-là une robe courte sous laquelle, 3 ou 4 marches plus bas, j'avais une superbe vue sur ses jambes gainées de bas nylon gris, et la suivais jusqu'au second étage, profitant de l'occasion !
  Alors qu'à mon tour, j'arrivais sur le palier, elle venait d'ouvrir la porte de son appartement puis se retourna et, croisant les bras, elle me regarda .
 Je lui donnais le bonjour auquel elle ne répondit pas, mais m'annonça : -" Tu crois que je n'ai pas remarqué ton petit manège depuis le temps que tu montes derrière moi ? Entres chez moi car j'ai deux mots à te dire !"
  Intimidé et rougissant, je gravissais la dernière marche et, parvenu à son niveau, elle me saisit par le poignet et me fit la suivre dans le couloir de son appartement dont elle referma et verrouilla la porte derrière nous !
  Une fois dans le salon, après avoir posé son sac sur la table, elle me lacha, et, prenant une chaise, l'installa au milieu de la pièce pour s'y asseoir !
Puis elle me fit signe de m'approcher ! Une fois devant elle, elle me fit passer sur sa droite, et, me tenant par les hanches, déboutonna mon short, me le baissa jusqu'aux genoux , puis me fit basculer à plat ventre sur ses cuisses, tête en bas, maintenu fermement par la tailla pour que je ne m'échappe pas !
     -" Je crois que tu n'as jamais autant vu mes cuisses Qu'aujourd'hui ! Tu as eu raison d'en profiter car à ton tour de me montrer les tiennes !"
  Et sans me laisser le temps ni de protester, ni de m'excuser, elle saisit l'élastique de mon slip qu'elle tira vers le bas, me déculottant généreusement, et me cala sur ses cuisses afin que mes jambes ne touchent pas le parquet !
  Une fois en bonne position, plaqué contre le nylon de ses bas ( sa jupe étant généreusement retroussée sur ses cuisses ) elle m'annonça ses intentions que j'avais malheureusement devinées !
        -" Bien que tu ne sois plus un enfant, je vais te donner la fessée pour t'apprendre à regarder sous mes jupes ! Et, crois moi, cette fessée saura t'en faire passer l'envie !"
  Et la fessée commença !      Josette me claquait les fesses et mes pauvres fesses tressautaient sous la violence des gifles !
  Ca me chauffait !
     Après une longue série de claques, dont Josette ne changeait en rien l'intensité, mais plutôt le rythme, soit en les espaçant, soit en les rapprochant, je cherchai à protéger mes fesses, mais elle m'en empêcha en me saisissant les deux poignets !
     Et les claques retombèrent, rapides en cadence d'une fesse à l' autre, sous mes cris, tandis que je commençais à pleurer !
   Au bout de longues minutes, Josette m'annonça :
-" Voilà ! C'est terminé !"
     Et, me libérant les poignets, elle me fit relever, les yeux embués de larmes, et me frottant généreusement les fesses à deux mains !
   Puis Josette  me saisit le menton, me regarda dans les yeux, et levant son index, m'ordonna :
 -" Files au coin, mains sur la tête !"
 Je restais ainsi de longues minutes, pleurnichant de douleur et de honte d'avoir été ainsi  déculotté et fessé par une jeune femme !
  
-" Maintenant, tu peux te reculotter, mais... que je ne t'y reprenne plus car la prochaine fois, ce sera pire !"

vendredi 2 septembre 2011

Les récits d'Alain : une fessée chacun !


Une fessée chacun ! Voilà ce que nous valut, à ma camarade Hélène et moi,  notre curiosité d’adolescents pour les dessous féminins. 

La leçon particulière d’anglais de Geneviève qui n’hésita pas à me donner une fessée pour que j’étudie régulièrement m’a servi tout le long de la sixième et aussi de la cinquième et même encore maintenant, je connais les verbes irréguliers en anglais. Pendant la classe de quatrième, nous nous retrouvions régulièrement ma camarade de classe Hélène et moi, chaque mercredi après-midi pour rédiger ensemble nos différents devoirs, chacun aidant l’autre et cela le plus souvent chez elle.
Ce mercredi-là, alors que sa mère était absente, Hélène fut tentée de me montrer quelques secrets dans la chambre parentale où elle m’entraîna. Elle ouvrit les tiroirs de la commode qui renfermait la lingerie de sa mère et en exhiba des bas nylon de toutes les teintes et autres dessous alors qu’au début des années 70  le collant avait déjà fait son apparition.
Bien sûr, pour nous qui avions 14 ans, la tentation était trop forte, surtout pour Hélène toujours vêtue de chaussettes blanches et de jupes plissées bleu marine. Elle troqua rapidement ses chaussettes contre une paire de bas nylon couleur chair autofixants, puis s’amusa à déambuler dans la chambre, en faisant virevolter sa jupe, à s’asseoir en croisant les jambes, tout ceci pour ma plus grande joie. Cependant, durant notre excitation, nous n’avions ni vu le temps passer, ni entendu la mère d’Hélène rentra la maison qui nous surprit donc tous deux dans sa chambre.  
«  Que faites-vous donc dans ma chambre ? Je croyais que vous deviez travailler tous les deux ? Je suppose que depuis mon absence que vous n’avez rien fait d’autre que de vous amuser ! »
La mère ‘Hélène nous fixait tous deux bras croisés depuis l’entrée de la chambre et elle remarqua les tiroirs ouverts de la commode puis les bas nylon qu’Hélène avait enfilés. 
« Je vais vous apprendre tous les deux à fouiller dans mes affaires ! Hélène, file dans ta chambre quant à toi Alain, attends-moi ici ! »
Hélène n’obéissant pas assez vite, sa mère la saisit par le poignet et toutes deux sortirent.. Hélène m’avait souvent raconté que sa mère était assez sévère et qu’elle n’hésitait pas lorsque cela était nécessaire en cas de désobéissance ou mauvais résultats scolaires, à prendre sa fille sur ses genoux, à lui retrousser sa jupe et à lui flanquer une bonne fessée, ce qui allait sûrement arriver !!! Je sortis donc dans le couloir à leur suite et sans me faire remarquer, m’approchai à pas de loup de la porte entrebâillée de la chambre voisine et souriait au spectacle qui m’était offert. La mère d’Hélène s’était assise sur une chaise, ma camarade allongée à plat ventre en travers des cuisses maternelles, tête en bas et derrière en l’air ; la jupe plissée fut rapidement retroussée, la culotte blanche glissa le long des bas à mi-cuisses et sans attendre, les claques se mirent à crépiter sur le derrière rebondi qui tressautait et rougissait sous les impacts tandis qu’Hélène se débattait en criant et en pleurant. Sa mère la fessa ainsi de longues minutes et lorsqu’elle cessa enfin, sa fille resta prostrée sur ses cuisses, le derrière écarlate, étouffant ses sanglots. Hélène se releva, rajusta sa culotte et sa jupe, ôta de ses jambes les bas nylon qu’elle tendit à sa mère.
 
Je filais rapidement vers la chambre où je devais attendre la suite des événements pour y attendre mon sort que je supposais, avec appréhension, guère différent de celui d’Hélène, mais moins sévère. Sa mère entra, fit du rangement rapide dans ses tiroirs et prit à mon tour me saisit le poignet et m’entraîna dans la salle où nous aurions du commencer nos devoirs. Elle s’assit sur une chaise et me fit signe, de l’index de m’approcher. Dès que je fus à sa portée, elle m’attira contre ses cuisses et aussi rapidement et efficacement qu’avec sa fille, elle déboutonna mon pantalon, le fit glisser jusqu’à mes genoux, mon slip prit le même chemin et elle me renversa sur ses genoux et une fois que je fus en position, un véritable déluge de claques crépita sur mon derrière dénudé.
Par réflexe, je serrais les fesses, mais la mère d’Hélène était experte en fessées et rien n’y fit. Tout comme ma camarade, je fus généreusement fessé jusqu’à ce que  mes fesses deviennent  de plus en plus douloureuses et brûlantes. Cherchant à me protéger d’une main, la mère d’Hélène me rabattit les poignets dans le creux de mes reins et les claques redoublèrent d’intensité; j’eus beau battre des jambes, la supplier d’arrêter, promettre tout et n’importe quoi, rien n’y fit, j’eus droit à la même fessée que sa fille … Quand j’éclatais en sanglots, enfin, au bout de longues minutes et plusieurs douzaines de claques sur les fesses, la mère d’Hélène arrêta la fessée.
Elle me laissa souffler et larmoyer, toujours allongé en travers de ses cuisses, me sermonna,  et m’expliqua qu’elle m’avait puni à la fois pour ma vilaine curiosité vis-à-vis des dessous féminins et aussi pour avoir profité du spectacle de la fessée de sa fille, car dit-elle, elle m’avait aperçu dans l’angle de la porte quelques minutes auparavant alors qu’elle fessait sa fille.
« La prochaine fois, je te fesserai le premier, devant Hélène qui elle aussi profitera du spectacle » m’avertit-elle.
Elle massa mon derrière chaud et endolori avant de me faire me relever et rhabiller pour rejoindre Hélène qui attendait à l’entrée de la pièce et qui elle aussi n’avait rien loupé du spectacle. Hélène et moi étions ainsi à égalité, mais ceci est une autre histoire. Je dois avouer qu’après cette double fessée, nos mercredis après-midi furent toujours studieux.