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samedi 14 avril 2018

Récit : Sandrine, belle fessée et belle fesseuse (1° partie)

Au milieu des années 2000, j’ai fait la connaissance d’une complice, Sandrine, la quarantaine, professeur de langues, grande amatrice et je devais le découvrir plus tard, grande consommatrice de fessées ; après une longue correspondance via Internet, nous avons convenu, une rencontre pour mieux faire connaissance et discuter, avant de nous retrouver une soirée pour nous adonner à notre passion commune.
Le jour et l’heure convenus, lorsque j’ai sonné à la porte de son appartement, elle m’a ouvert la porte, vêtue d’un tailleur noir, les jambes gainées de lycra gris et chaussée d’escarpins, j’ai compris qu’elle avait mis tous les avantages de son côté pour me séduire et la fesser ; si jusqu’à présent j’avais fessé des derrières féminins dont la taille flirtait avec les 40, 42 et en la regardant bien, je craignais qu’un petit derrière comme le sien (taille 36-38) puisse mal amortir une bonne fessée … je me trompais …
Autour d’un rafraîchissement, avons convenu des règles du jeu avant de commencer : pas d’attouchements sexuels, définition d’un mot code pour cesser, … une fois tout ceci fixé et acté, Sandrine n’étant pas réticente à recevoir de suite une bonne fessée, m’a demandé de la suivre dans sa chambre, lieu tranquille qu’elle avait choisi et préparé pour sa discrétion, m’a fait asseoir sur le bord du lit et s’est allongée en travers de mes cuisses, la poitrine reposant sur le couvre lit et les jambes pendant ans le vide ;., j’ai retroussé la jupe cintrée du tailleur pour la lui rabattre sur la taille et découvrir qu’elle portait non pas un collant, mais des bas avec jarretières et une ravissante mini-culotte que je lui fis glisser jusqu’aux plis des genoux, déculottant un ravissant petit derrière, hâlé, légèrement potelé …
La maintenant fermement par la taille, je la vis croiser pudiquement les chevilles, faisant crisser ses bas lycra et sans lui demander si elle était prête, voyant ses fesses se contracter, je commençais à la fesser, d’une fesse à l’autre, ma main rebondissant allègrement d’un globe sur l’autre. 


 
De temps à autre, je m’arrêtais pour vérifier de l’efficacité de la fessée et aussi pour entendre si Sandrine avait quelque chose à me dire, car cela faisait plusieurs minutes, que je lui claquais la croupe, lorsqu’elle me fit cette réflexion :
 
 « Si tu penses m’impressionner avec une toute petite fessée de rien du tout …»
Ebahi, je m’arrêtais … Sandrine en profita pour se relever. Une fois redressée, elle enjamba sa minuscule culotte qui lui entravait les jambes et s’en débarrassa, rebaissa sa jupe sur ses hanches, me prit la main pour me faire lever et s’assit à ma place.