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jeudi 30 juillet 2009

En viste chez une cousine

En visite, chez une cousine de ma mère, Christine, il m'arriva de voir traîner un martinet, et même d'assister à une punition de la fille de la dite cousine, Nicole. Devant nous, Christine empoignait Nicole, la courbait sous son bras ou la couchait en travers de ses genoux, levait ses jupes, tapait sur le fond de sa culotte de coton blanc, pour une fessée expéditive.

Une fois, j'avais onze ans et Nicole également, maman m'avait laissé pour se rendre dans les magasins pour me reprendre en fin d'après-midi. Nicole, ayant commis quelque bêtises, sa mère l'allongea à plat ventre sur ses genoux. Selon le rituel habituel, elle releva la jupe et la combinaison de Nicole

Son geste démasqua le derrière. Malgré moi, je regardais la scène. Mais au lieu de frapper la lune rebondie, la correctrice attrapa l'élastique retenant à la taille la culotte et la baissa d'un coup sec. Médusé, je vis les fesses nues peureusement serrées. Nicole poussa un cri. Sans y prendre garde la maman leva son joli bras potelé laissé nu par la robe sans manches ce qui me démasqua les poils soyeux ornant l'aisselle et l'abattit, frappant en plein milieu du derrière, la paume sur la fesse gauche et les doigts sur la fesse droite.

Christine, l'air sévère, claqua en cadence la croupe de sa fille qui craqua et se mit à pleurer. Les unes après les autres, les gifles se succédaient, fouaillaient la chair, coloraient peu à peu, l'épiderme fessier, le rosissant, le rougissant, l'empourprant.

Nicole se tortilla, trémoussa son postérieur, agita ses jambes, les croisant ou les ouvrant sans se soucier de me monter sa tirelire. Nicole implora le pardon, mais sa maman la tenait fermement; d'une voix sèche, elle la grondait pour ses contorsions, et d'une main sèche elle lui claquait le popotin. Au fond de moi, je plaignais Nicole. Je savais que Christine n'allait pas lui pardonner tout de suite et continuer la punition. Je savais aussi que la fessée devait lui faire très mal. Je respirai, quand enfin  sa mère la délivra. Nicole, debout, se massa énergiquement le joufflu, remonta sa culotte, se sauva dans sa chambre. Interdit, je restai sur ma chaise.

Ma cousine m'appela. A pas comptés, je la rejoignis. Elle me prit les mains, m'attira contre elle, me fixa droit das les yeux.

- Mon petit Laurent, dit-elle d'une voix douce, tu es aussi coupable que Nicole…ne l'as-tu pas poussé à fauter ?…Toi aussi, tu mériterais une petite fessée !

- Oh ! Christine !

- Mais si.

Tenant mes poignets serrés dans sa main gauche, elle commença à dézipper mon pantalon. Me le baissa et m'empoigna les fesses. Je cherchai à me dégager. Christine écarta ses genoux, tira sur mes bras, m'inclina en avant à demi couché contre sa cuisse gauche. Lâchant mes poignets, sa main mesura la surface à fesser. Mort de honte, je sentis l'air frapper mes cuisses nues. Pesant de son bras sur mon dos, elle porta son autre main à la ceinture de mon slip, en saisit l'élastique. Je me démenais, mais sa volonté me domina ; d'un coup sec mon petit slip glissa le long de mes hanches. Mes fesses me parurent jaillir de leur enveloppe. Bref, j'étais déculotté, et en bonne position pour recevoir la fessée. Dans le silence de la pièce, venant de sa chambre, j'entendais les sanglots de Nicole. je frissonnais.

- Tu trembles, plaisanta Christine, tu as peur, à l'idée de la fessée ?

- Oui…bégayai-je sottement.

- J'ai pourtant bien envie de corriger cet arrogant derrière …de le rougir…

Tout en parlant, elle me palpait les fesses, les caressait, les pinçait. une confusion indicible m'envahissait, sans parler de la peur du châtiment.

Durant un long moment, ou qui me sembla tel, Christine me menaça. Puis, enfin, se décidant, me fessa pour de bon. D'abord légèrement, puis de plus en plus fort, et enfin très fort avec de vraies claques bien espacées.

- tiens, tiens, tiens ! … PAN... PAN... PAN… Tu seras sage ? !… PAN... PAN... PAN…

Je gigotais, j'avais mal, me mit à pleurer. Cela ne sembla pas émouvoir Christine qui poursuivit un petit moment cette fessée tellement cuisante avec de fortes claques espacées.

Mais elle tint parole et s'arrêta assez vite. Elle m'avait promis une "petite" fessée. Et au moins dans sa durée, ce fut une petite fessée. 

Elle m'avertit de faire attention car la prochaine fois se serait une "vrai" fessée, me consola et dans ces bras j'oubliai mon chagrin.

Christine ne mentionna pas l'incident à maman. Ce qui m'évita une nouvelle fessée à la maison, ou même séance tenante. Je fis tout pour éviter de devoir être puni le restant de la journée.

2 commentaires:

  1. Jolie improvisation pour une première livraison... On espère une suite et bien d'autres contributions à ce sujet "rougissant".
    Je crois que la cousine, honteuse d'avoir dû montrer sa lune exposée sur les genoux maternels n'aura pas été mécontente que le même traitement ait été appliqué à son cousin.

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  2. pour rester chez les cousines je me rappelle d'un sale moment passé chez ma tante ! en vacance chez ma tante j'avais moi et mes deux cousines l'interdiction absolue de descendre a la cave .bien sur cette interdiction me tourmentait et un après-midi je decidai tout simplement denfermer mes cousines par surprise dans leur chambre et d'explorer la cave . je descendai dans le noir absolu cherchant l'interrupteur mais ce qui devait arriver arriva et je degringolai entrainant dans ma chute des casiers de bouteilles ! j'etais sousnle choc quand la lumière jaillit et je vis avec effroi plusieurs bouteilles de bon vin fracassées sur le sol. ma tante revenu plus tot que prévu descendai en criant et vociférant. elle estima rapidement la casse et me prenant par l'oreille me fit monter les escalier a toute vitesse. mes cousines étaient là l'air innocent et ma tante leur ordona d'aller ss'asseoir sur le bord de leur lit. elle montèrent s'executer suivi de peu par ma tante qui me trainait toujours par l'oreille .arrivé la haut elle saisit un fauteuil qu'elle plaça a coté du lit.j'étais déja résigné a la fessée quand elle entreprit de me déculoter baissant mon short ma culotte et otant mon tea shirt.mais elle augmenta ma honte en me laissant debout nu tiré toujours par l'oreille juste devant mes deux cousines en me grondant! je fus ensuite allongé sur ses genoux et la fessée commença.je pleurai vite et gemissait mais ma correctrice ne s'aamadouait pas. au contraire elle demanda aux filles d'aller chercher leur savates respectives. je redoublait de honte craignant d'etr fessé^par mes propres cousines mais ma tante qui les corrigeait aussi parfois n'alla pas jusque là et c'est elle qui me fessa.je du quand meme demeander "pardon laura" après chaque claque de sa pantoufle et idem pour sandrine!!la fessait se prolongeat et ma tante savait jouer avec me faisant croire ala fin puis redoublant les coups.elle dit aux filles de descendre manger puis m'ordonna de copier 1OO fois pour le lendemain "je ne désobéirai plus sous peine d'une bonne correction ".je me relevai en pleurs et me reculotai bien vite. ce fut sans doute une autre erreur! elle me deculota de nouveau m'enlevant meme la culotte et me fis descendre . c'est ainsi que je passai le diner a genou au coin de la salle a manger fesse a l'air les mains sur la tete pendant que j'entendai les fourchettes et cuillères de ma tante et mes cousines. elle me promit de corriger mon insolence^pendant mes vacances tout comme a mes cousines et me dit que meme si mes parents ne pratiquaient pas la fessée ma mère ne lui en voudrait surement pas! je ne reçu que deux autres fessées durant quinze jours mais elle m'offrit quand meme un martinet a noel et les prochaines vacances furent beaucoup moins marantes d'autant plus qu'en cas d'absence de ma tante ma cousine ainée avait tout loisirs de me punir ce dont elle ne se priva pas....!!

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