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dimanche 23 octobre 2011

Récits d'Alain : Catherine ou qui perd gagne !!!


Voici le récit d'une des fessées administrée à Catherine, non pas la lycéenne de terminale, mais quelques années plus tard à une collègue ingénue !!!

Catherine, collègue de travail, ravissante blonde aux formes pulpeuses, avait passé avec moi un pari dont nous avions quelques mois plus tard, après les vacances d’été oublié l’objet … mais pas l’enjeu, car en effet si elle gagnait, je lui offrirai une glace aux griottes et si elle perdait, je la fesserai, car depuis que nous nous connaissions, la fessée revenait régulièrement dans nos conversations et il faut dire que l’éventualité de recevoir une fessée n’effrayait pas la ravissante ingénue qui avec une bonne paire de fesses, avait de quoi l’amortir du moment que son honneur était sauf !!!
Quelques jours après les congés, Catherine vint me retrouver et me rappela notre enjeu, regrettant de n’avoir pu manger une glace.Mais personne n’avait ni gagné, ni perdu … et puisqu’il n’y avait ni vainqueur ni perdant, tout le monde avait donc gagné : elle recevrait la fessée, une bonne fessée classique et dégusterait ensuite sa glace pendant la pause de midi. Nous décidâmes de nous retrouver, une fois tous nos collègues sortis pour déjeuner.
A midi, Catherine m’attendait au local des archives et une fois tous deux à l’intérieur, referma et verrouilla la porte, derrière nous en me précisant :
« Je veux bien une bonne rigolade entre nous deux, mais je ne veux pas en faire profiter tout le monde ; j’espère que tu n’en parleras à personne ».
Je n’en avais nullement l’intention et lui promettais mon silence.
Derrière les étagères, elle avait placé une chaise, m’avouant  être une amatrice de la fessée « sur les genoux », mais qu’elle restait sur sa faim, son mari n’étant pas trop amateur de cette fantaisie.  Elle m’invita à m’y asseoir et me fit jurer de la fesser uniquement par-dessus sa jupe, justifiant son choix par cette fin de l’été, qu’elle ne portait pas de collant et redoutait qu’une fois à plat ventre sur mes genoux, jupe retroussée, de se retrouver petite culotte baissée pour recevoir la fessée « cul nu », ce pourquoi, elle ne se sentait pas encore prête … pas tout à fait … promettant mi sérieuse, mi coquine, qu’à l’automne prochain, elle se laisserait peut-être tenté par une fessée jupe retroussée, mais avec un collant bien opaque …
Vu la longueur de la jupe et le tissu léger dont elle était faite, qu’elle le veuille ou non, une fois à plat ventre sur mes genoux et penchée bien en avant Catherine m’offrirait quand même une belle vue plongeante sous sa jupe dont la faible épaisseur n’amortirait pas les claques sur son derrière serré dans le tissu étroit de la jupe.
Elle prit donc position sur mes genoux, à plat ventre, se tenant des deux mains aux pieds de la chaise, les jambes tendues au sol. Sans perdre de temps, la maintenant à la taille d’une main, j’entrepris de la fesser comme elle le demandait, tout en observant que je ne mettais pas trop trompé. Malgré le côté pudique et effarouché de Catherine, j’avais sous les yeux le haut de ses cuisses et les bords  en dentelle de sa culotte, car en se penchant trop bien en avant après s’être allongée sur mes genoux, elle n’avait pu empêcher le tissu de la jupe remonter le long de ses jambes et cuisses.
Ma main droite tomba en cadence, alternativement d’une fesse sur l’autre et entre chaque claque, son derrière contracté se tendait sous la jupe pour la claque suivante et la main qui le corrigeait … Catherine gigotait se trémoussait …  la jupe remontant plus haut que ses cuisses  …  j’avais une vue plongeante sur une magnifique paire de fesses que le tissu d’une culotte étroite et tendue avait un peu de mal à contenir, révélant les fossettes des deux fesses, qui rougissaient à vue d’œil.
Sous l’intensité et le rythme de la fessée, Catherine battait des jambes, sous chaque claque et au bout de longues minutes et plusieurs paires de claques, elle me demanda d’arrêter puisque j’avais gagné mon pari, c’était à son tour d’avoir le sien et de nous rendre au restaurant pour qu’elle y déguste une glace aux griottes, dont ses fesses devaient avoir, je suppose, la même couleur. 

samedi 22 octobre 2011

Une mésaventure d'Alain : la vengeance de Sylvie


La vengeance de Sylvie : la vengeance d’une brune !!!


Quelques semaines auparavant, à la suite d’une bonne fessée reçue pour avoir fait un chèque sans provision, Sylvie s’était relevée, les yeux embués de larmes, avait quitté le salon où s’était tenue la punition conjugale en se frottant le derrière des deux mains par-dessus la robe en direction de notre chambre d’où elle revint quelques minutes plus tard, après avoir examiné toute la surface de son derrière écarlate et brûlant dans le miroir de la porte de l’armoire, puis revenant au salon, avait retroussé sa robe sur ses hanches et m’offrant le spectacle de ses fesses écarlates en baissant collant et culotte pour m’avait annoncé : S : « je me vengerai !!! ». Et bien, quelques semaines plus tard, elle le fit…
 
Nous étions à l’époque, au début des années 80, dans les premières années de notre mariage à Nancy. La société pour laquelle je travaillais m’envoya un jour sur Paris et sa banlieue, pour y récupérer du matériel et je devais faire la liaison rapidement dans la demie journée et avant le week-end de Pâques. Juste après le déjeuner que je pris dans notre appartement avec Sylvie, cette dernière me fit promettre de lui téléphoner lorsque je serai sur la route du retour, en soirée.
 
Je pris donc la route, parvins au sud de Paris y percevoir de la documentation et dus faire un détour sur Pontoise pour y prendre du matériel, tout cela avant de prendre la route du retour. Je m’arrêtais dans un resto-route aux environs de Chalons sur Marne à l’époque, mais avant je me dirigeais vers les cabines téléphoniques qui toutes étaient occupées ; je me dis donc que je téléphonerais à Sylvie après le repas et je dînais. Bien sûr, une fois ma collation prise, pressé de rentrer je repris le volant sans téléphoner. Quand j’arrivais fort tard sur Nancy et rentrais chez nous,  Sylvie me fit remarquer  qu’elle attendait encore mon appel téléphonique et bêtement, je mentis en lui répondant  que je n’avais pas trouvé de cabine téléphonique.
 
Nous avions prévu de passer le week-end pascal en Champagne et lorsque nous en revînmes, chaque fois que Sylvie apercevait une cabine téléphonique sur une aire de repos, elle me la faisait remarquer … si bien que lorsque nous fumes tous deux chez nous, elle m’annonça qu’elle n’aimait pas ni les menteurs, ni les gens de mauvaise fois et qu’elle allait me « punir » en conséquence par une fessée !!! J’eus beau fanfaronner, lui affirmer que la fessée était réservée aux « vilaines grandes filles », elle me répondit que son côté « suffragette » l’incitait à penser le contraire et que pour l’égalité des sexes, pourquoi les « filles » ne fesseraient » elles pas les « méchants garçons » menteurs de surcroît …
 
Ma dernière fessée reçue de la main de ma tante pour ne pas préparer studieusement ma rentrée au lycée remontait à une dizaine d’années et je ne m’imaginais pas dans la même position et tenue sur les genoux de ma femme … tout en remontant sa jupe sur ses cuisses gainées d’un collant gris, Sylvie assise sur une chaise de la chambre me fit signe de m’approcher … elle m’attira à elle, défit ma ceinture et l’agrafe de mon pantalon, puis descendit la fermeture éclair … je me retrouvai debout devant elle en slip, mon pantalon sur les chevilles …
Sylvie :  «Maintenant, allonge-toi sur mes genoux ! »
Je comprenais devant sa détermination que je ne pouvais que lui obéir et m’allongeais en travers de ses cuisses, les deux mains appuyées sur le sol, mes fesses en l’air.
Elle commença à les tapoter avec des petites claques ressemblant  plutôt à des caresses …
Sylvie : « Voilà un derrière qu’il ne faut pas faire attendre ! » … et je sentis qu’elle baissait mon slip et elle me donna une autre petite claque pour m’inviter à me soulever, à décoller mon ventre de ses cuisses afin de permettre un déculottage dans les règles …
Sylvie : « Une bonne fessée se donne sur les fesses nues, Monsieur ! C’est bien ce que tu me dis et fais lorsque je ne suis pas sage ??? »
Mon slip fut descendu à mes genoux, mon bas ventre nu contre le nylon de son collant  je suis sûr que tout comme moi dans les mêmes occasions lorsque les rôles étaient inversés que Sylvie devait contempler mon derrière, un petit sourire aux lèvres et soudain  la fessée commença, claquante et cinglante dès le départ. Sylvie m’administrait de bonnes claques, bien espacées sur une fesse puis sur l’autre. Par fierté masculine, je tentais de résister à la douleur et de ne pas crier, de ne pas supplier …. mais la chaleur et la douleur devinrent insupportables … je ne pus me contrôler: je me mis à crier de douleur et sentis des larmes couler sur mes joues. 
Insensible, imperturbable, Sylvie continuait à me fesser en me maintenant fermement par la taille, tandis que je battais des jambes et gigotais, me débattais en travers de ses cuisses, mes fesses en feu … mais les claques se succédaient toujours aussi fortes d’une fesse à l’autre … 
La fessée fut rapide et intense et soudain Sylvie s’arrêta aussi brusquement qu’elle avait commencé … le bruit et la douleur des claques cessèrent … je restais prostré en travers de ses cuisses, les fesses douloureuses et brûlantes, avant que Sylvie m’invite à me redresser et à mettre de l’ordre dans ma tenue … une fois debout, tandis que je remontais ensemble slip et pantalon, Sylvie, toujours souriante,  m’annonça que chaque fois que je lui mentirais, je serais fessé comme un « gamin » !!! Elle ajouta que maintenant que j’avais découvert les effets d’une bonne « fessée cul nu » que je n’aurais plus l’hypocrisie de lui demander si cela faisait mal quand je la fesserai plus tard !!!

Plus jamais depuis maintenant 30 ans de mariage, je ne lui ai menti.

mercredi 5 octobre 2011

Récits d'Alain : Fessée entre cousines


Il m’a été donné d’assister à une séance de fessée « entre filles » dans les années 80 et ce fut Claudine, une cousine de ma femme qui en fut l’« héroïne ».
Un après-midi, alors que je cueillais des fruits avec les deux plus jeunes cousines de ma femme, Carole 17 ans et Isabelle 15 ans, Sylvie vint nous chercher pour participer à un « conseil de famille». Dès que nous entrâmes dans la pièce, à la tête que faisait Claudine, l’aînée des cousines (20 ans), je devinais que c’était du sérieux.
Sylvie nous annonça qu’elle avait surpris Claudine à fouiller dans son sac à main pour y prendre de l’argent, précisa qu’elle n’était qu’une voleuse et méritait d’être punie comme telle, telle une gamine. Aussi nous proposa-t-elle que, malgré ses 20 ans, Claudine reçoive une bonne fessée devant nous tous rassemblés, en espérant que cela serve aussi de leçon aux deux plus jeunes. Cette proposition fit l’unanimité de Carole et Isabelle, mais pas trop celle de Claudine qui bien que ne contestant pas la sanction, demanda à pouvoir être fessée dans l’intimité.
Sylvie ne  lui laissa pas le temps ni de négocier, ni de pleurnicher et se levant, la saisit par le bras et l’entraîna vers le milieu de la pièce. Prenant une chaise par le dossier, toujours sans lâcher Claudine une fois assise, la renversa en travers de ses cuisses et tout en la maintenant fermement par la taille,  sans perdre de temps, retroussa la courte jupe d’été, saisit l’élastique de la culotte en coton, tandis que Claudine essayait bien de l’en empêcher, culotte qu’elle fit glisser rapidement jusqu’à la pliure des genoux, nous dévoilant ainsi une belle paire de fesses bien rondes d’un blanc laiteux.
 Tout en lui saisissant les deux mains avec lesquelles Claudine essayait désespérément de protéger ses rondeurs, le bras droit de Sylvie se leva et la paume de sa main se mit à marteler à cadence rapide la croupe de la coupable, d’une fesse à l’autre, sans aucun répit… chaque fois que la main claquait le derrière tendu, la trace rouge de la paume de la main et de ses cinq doigts s’imprimait sur le globe fessier où elle venait de tomber tandis que la pièce résonnait d’un bruit sec suivi d’un cri de douleur faisant sursauter les deux jeunettes… qui ne perdaient aucune miette du spectacle et ceci me fit penser qu’elles avaient dû connaître pareille mésaventure de la main de leurs deux aînées et à voir leur sourire, il n’y avait aucun doute qu’elles se voyaient vengées des fessées qu’avait dû leur administrer Claudine !
Se tortillant, battant des jambes, entravées dans la culotte pour tenter d’échapper aux claquées, Claudine poussait des cris de douleur et entre deux sanglots, suppliait Sylvie de cesser … Mais Sylvie ne se laissait pas attendrir et savourait, sourire aux lèvres, cette fessée qu’elle administrait en laissant tomber sa longue et fine main sur un derrière qui avait perdu sa pâleur initiale pour rosir puis rougir en passant par toute la gamme des rouges et ressemblait maintenant à une tomate bien mûre prête à être cueillie !!!
La fessée ne dura pas très longtemps mais fut intense et lorsque Sylvie s’arrêta et relâcha, Claudine, celle-ci avait les fesses écarlates et des larmes plein les yeux. Elle ne perdit pas de temps et se releva aussitôt, remonta sa culotte du mieux qu’elle put tout en se précipitant dans l’escalier pour pouvoir regagner sa chambre tout en se frottant le derrière à deux mains sous sa jupe d’où elle ne réapparut qu’en fin de soirée au moment du dîner.
Sylvie sermonna Carole et Isabelle avant de les renvoyer continuer à cueillir les fruits, non sans les avoir menacées du même châtiment si l’envie leur prenait d’imiter Claudine.  Une fois seuls, Sylvie m’avoua qu’elle comprenait le plaisir que pouvaient éprouver les garçons en fessant les « vilaines grandes filles » !