Depuis une bonne dizaine d’années en ce début des années 90, Brigitte est la meilleure amie de ma femme, lorsque Sylvie en vacances dans le Centre de la France, m’appelle un soir, me demandant de m’occuper de Brigitte, qui est malade et clouée au lit
En milieu de semaine, Sylvie me rappelle et me demande pour le samedi, d’accompagner Brigitte chez un spécialiste pour une fibroscopie. Le samedi, je passe donc chercher Brigitte et nous rendons tous deux chez le spécialiste. Dans la salle d’attente, plus les minutes passent, plus Brigitte est angoissée et elle en vient lorsque vient son tour d’entrer dans le cabinet de consultations, à me saisir la main et à ne pas la lâcher. Au cours de l’entretien médical, j’apprends qu’elle n’est pas malade depuis le milieu de la semaine, mais depuis le début du week-end la précédant et dès que le médecin ne nous regarde plus, elle a droit aux « gros yeux » !!!
En voiture, sur le chemin du retour, je la sermonne et lui annonce que lorsque Sylvie va savoir depuis quand elle est malade, elle risque fort de se faire sévèrement disputer pour ne pas nous avoir prévenu plus tôt et demander notre aide. De retour chez elle, elle m’invite à entrer boire un café. Pendant que nous nous rafraîchissons dans son salon, face à face autour de la table, elle aborde le sujet de son éventuelle dispute avec Sylvie, me demandant de me taire. Je lui promets donc mon silence et n’aborderai pas avec ma femme le petit soucis de la date du début de maladie. Elle m’interpelle alors me demandant ce que je ferai si j’étais son amie, ce à quoi, je lui réponds que je ne le suis pas puisque c’est Sylvie et non moi.
B : « N’empêche que si tu l’étais ou le devenais, tu me disputerais ? »
A : « J’ai déjà une très bonne amie Nadine et que je connais depuis 1975 car nous étions au lycée ensemble et crois-moi si tu étais elle, ce n’est pas avec une dispute que tu t’en sortirais, mais avec une fessée !!! »
B : « Ah bon … une fessée … à son âge … et il dirait quoi Nadine ? »
A : « Rien car depuis qu’elle la cherche et que je la lui promets, je pense qu’elle serrerait les fesses et attendrait que les claques cessent de tomber»
B : « Et que dirait Sylvie? »
A : « Elle en rirait, trop contente que ce ne soit pas elle qui la reçoive pour une fois »
B : « Parce que tu donnes la fessée à Sylvie ? »
A : « C’est arrivé quand nous sortions ensemble et aussi quand nous étions jeunes mariés … parce qu’elle n’était pas sage, trop dépensière … elle s’est retrouvée allongée sur mes genoux, jupe retroussée pour se faire claquer les fesses sur ses collants … et même deux ou trois fois culotte baissée en petite robe d’été, sans collants !!! »
B : « Et elle se laissait faire ? »
A : « Sylvie serrait les fesses et trouvait cela plus profitable et plus amusant qu’une dispute conjugale »
B : « Et elle ne disait rien ??? »
A : « des aïe, des ouille, battait des jambes ; elle m’a seulement avoué une fois qu’une fessée culotte baissée était humiliante, mais moins cuisante que sur des collants et qu’elle ne me dirait jamais si je lui faisais trop mal ou pas assez de peur que je lui claque les fesses plus longuement et plus sévèrement !!! »
B : « Et après ??? »
A : « Après ? Pas de câlin, sinon la fessée est inefficace ; Sylvie attendait le soir. »
B : « Supposons donc que si j’étais ta femme ou ton amie, je recevrais une fessée ?
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