Voici le dernier récit de mes fessées d'adolescent, celle reçue de la main de ma tante à la fin du collège, juste avant de rentrer au lycée, pendant les vacances
Je garde le souvenir d’une magistrale fessée reçue de la main de ma tante alors qu’à l’âge de 16 ans, j’allais rentrer au lycée en septembre.
Ma tante, âgée d’une trentaine d’années, était à la fois professeur de français, d’anglais et de latin. Afin de me préparer à cette rentrée, elle avait décidé de me faire faire chaque matin de la semaine durant les vacances des révisions en anglais et latin, langue que j’avais abandonnée en classe de quatrième au profit de l’allemand. Cependant, ma tante ne l’entendait pas ainsi. J’ignorais alors à quel point elle pouvait être stricte en exerçant son métier de professeur. Bon gré mal gré, je dus me plier à sa volonté et travailler, du moins les deux premières semaines de juillet, avant de cesser tout effort pour cette langue. Ma tante ne tarda pas à découvrir que je « séchais » son latin et me demanda des explications. Je lui répondis que cette langue ne me servirait plus à la rentrée puisque j’avais choisi de l’abandonner au profit de l’allemand. Malgré mes 16 ans, ma tante me sermonna, affirmant que c’était elle qui décidait de mes révisions et que je devais travailler sinon elle me prendrait en main et me punirait comme un « gamin de sixième » et que j’aurais affaire à elle non pas en tant que tante, mais en professeur et qu’elle n’hésiterait pas à me donner une « bonne fessée » pour me faire travailler ! Jamais je n’avais deviné une telle autorité chez ma tante, néanmoins sa menace de me fesser me fit sourire.
« Tu peux sourire, mais sache que je n’hésiterai pas à baisser ton pantalon et à te prendre sur mes genoux pour t’administrer une bonne fessée déculottée ! »
La semaine passa sans que je me donne la peine de faire mes devoirs. Le lundi suivant en fin de matinée, ma tante me demanda de lui présenter mes devoirs. Bien entendu, malgré la menace, je n’avais rien fait. J’avais du mal à imaginer ma tante que j’adorais et adore toujours, guère plus grande que moi d’une tête, me fesser comme un gamin alors qu’elle ne m’en avait jamais menacé jusqu’alors ! Elle allait me prouver le contraire… Se plaçant face à moi, les bras croisés, elle m’annonça :
« Je t’avais prévenu, jeune homme ! Toi et moi, allons avoir un entretien particulier… du moins ma main et tes fesses. Suis-moi dans mon bureau ! »
Et comme si elle craignait que je lui désobéisse, elle me prit par la main et m’entraîna au fond du couloir vers la pièce qui lui servait de bureau. Dès que nous fûmes entrés, elle verrouilla la porte derrière elle, referma la fenêtre et en tira les rideaux. Ensuite, elle plaça une chaise au milieu de la pièce sur laquelle elle s’assit tout me faisant signe de l’index de m’approcher. Je n’osais pas croire dans son intention de me punir, pensant qu’elle voulait simplement m’intimider, mais je m’avançai vers elle et me laissai guider sur sa droite, tout contre sa cuisse.
Là, avant que je puisse protester, elle déboutonna mon jean qu’elle fit tomber à mi-cuisses. Mon slip suivant le même chemin, je me retrouvai les fesses nues. De la main gauche, elle me fit courber en travers de ses cuisses où je me retrouvai tête en bas et derrière en l’air. J’essayai de me redresser, mais elle me saisit fermement par la taille en disant :
« Je t’avais prévenu, et je vais maintenant t’apprendre qu’il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée ! »
Sans perdre de temps, son autre main entra en action et se mit à claquer mes fesses dénudées avec vigueur. A la fois surpris et honteux d’exhiber ainsi mes fesses nues et de me faire fesser par ma tante, j’essayais de me protéger des deux mains dès les premières claques. Ma tante devait s’y attendre car elle relâcha ma taille pour saisir mes poignets et les bloquer sur mes reins avant de reprendre sa fessée. Malgré la douleur et la chaleur qui commençaient à envahir de mon derrière, je reçus cette fessée sans plus rien faire pour me dégager, mes fesses tressautant sous les claques que ma tante distribuait généreusement et fermement, sa main claquant tour à tour une fesse puis l’autre, accroissant peu à peu une cuisson douloureuse contre laquelle je luttais en serrant et les fesses et les dents. Enfin, au bout de minutes qui me semblèrent interminables et de plusieurs dizaines de claques vigoureuses, elle cessa la fessée pour m’annoncer : « Cette fessée était celle du professeur … maintenant voici celle de ta tante ! »
Et le déluge de claques reprit, à une cadence encore plus rapide et plus intense qu’auparavant et qui semblait ne plus vouloir jamais s’arrêter… Tout en criant de douleur, je commençai à me débattre, à remuer les jambes et à me trémousser pour tenter d’échapper aux claques abominablement cinglantes.
« J’espère que cette fessée va te servir de leçon ! Et je ne m’arrêterai que lorsque j’estimerai que tu seras convenablement puni pour ta paresse ! Tant que tes fesses ne seront pas devenues écarlates, je continue ! » Ma tante redoublant de vigueur, l’intensité de la fessée devint intolérable. J’ignore combien de temps dura cette fessée, mais elle fut longue, retentissante, cuisante et surtout très humiliante. Je crois bien que dans cette pièce les seuls bruits que l’on devait entendre durant ce moment furent ceux des claques sur mes fesses dénudées et de mes cris et supplications. Du reste, ce fut en larmes que je suppliais ma tante d’arrêter en lui promettant de ne plus la décevoir, de faire tous mes devoirs et d’être très obéissant. Elle cessa la fessée aussi brusquement qu’elle l’avait commencée, me fit me relever de ses cuisses.
Moi de nouveau debout, je m’empressai de frictionner et de masser à deux mains mes fesses endolories en espérant atténuer l’affreuse cuisson tandis que des larmes coulaient sur mes joues. Remontant mon slip puis mon pantalon, je m’aperçus que je supportais difficilement le contact direct du tissu sur mes fesses brûlantes. En sortant de son bureau ma tante affirma d’un ton qui n’admettait pas la réplique :
« Et sache bien que je suis prête à recommencer à te fesser aussi souvent qu’il le faudra pendant toutes les vacances si tu persistes à ne pas m’obéir ! »
Et c’est assis sur le bout des fesses que j’avalais le déjeuner, tant la peau continuait à picoter. La leçon avait été apprise car, grâce à mes efforts pour apprendre le latin, ma tante ne renouvela pas cette fessée redoutable
bonne histoire
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