Catherine
s’offre une bonne fessée finale dans les règles de l’art !!!
Quelques
semaines avant mon départ définitif de l’Est de la France, pour gagner après
les congés d’hiver le grand Ouest, au cours d’une pause café, Catherine
m’annonça très sérieuse qu’avec mon départ, elle ne connaîtrait jamais la joie
d’une bonne fessée jupe retroussée et culotte baissée, comme une « sale
gamine » !!!
Je lui
répondais qu’elle aurait du se décider plus tôt, vu que mon départ était
imminent en fin de semaine … elle m’invita avant cette fin de semaine, de nous
échapper pendant la pause du déjeuner et d’aller non pas chez elle, mais chez une de ses copines absente car en
stage et dont elle avait les clés du studio pour en soigner les plantes … aussi
ravi qu’elle, j’acceptais et nous fixions cette « entrevue » au
dernier jour de la semaine, le vendredi.
Le
vendredi arriva et Catherine me communiqua l’adresse de l’appartement où tous
deux devions nous retrouver devant l’entrée et comme cela n’était guère éloigné
de nos bureaux … en quelques minutes nous étions rapidement sur place et devant
la porte de l’appartement. A cette heure du déjeuner, aucun bruit dans la case
d’escalier, l’immeuble était désert. Catherine ouvrit la porte de
l’appartement, s’y engouffra et je la suivais. C’était un petit deux pièces
dans lequel on accédait via un petit couloir bordé de placards, puis par une
nouvelle porte, on arrivait dans la pièce principale, meublée d’une table ronde
et de deux chaises et aussi d’un canapé.
Catherine
referma l’entrée principale, puis la porte du couloir et une fois dans cette
pièce, elle fit ce qu’elle devait faire, c'est-à-dire arroser les plantes de sa
copine et une fois ceci terminé, elle tira les double rideaux, pour plonger la
pièce dans une semi obscurité, mais surtout pour éviter la vue de la scène qui
allait se dérouler depuis les fenêtres des immeubles voisins.
Elle
m’avoua qu’elle avait fortement envie de cette dernière fessée et qu’elle
souhaitait être confortablement installée pour la recevoir et plutôt que se
retrouver plaquée sur mes genoux, tête en bas, jambes pendantes et fesses en
l’air ; elle préférait être fessée sur le canapé vers lequel elle se
dirigea et prêt duquel elle alluma une lampe d’ambiance, pour que je puisse
contrôler l’évolution des rougeurs et ne pas en perdre une miette,
m’annonça-t-elle avec un sourire coquin.
Je
m’installais donc sur le canapé et Catherine après avoir ôté ses escarpins,
s’agenouilla sur le canapé, sur ma droite, avant de s’installer confortablement
à plat ventre en travers de mes cuisses, jambes relevées et coudes en appui sur
les coussins, buste relevé.
Je
posais ma main droite sur ses jambes gainées de nylon noir et en glissant le
long, je pris tout mon temps pour retrousser sa robe noire qui heureusement
n’était pas moulante. Lorsque j’arrivais à la cambrure de ses reins, passant
l’obstacle de ses hanches, je pus rabattre le bas de sa robe sur sa taille,
découvrant ses fesses encore protégées par le collant.
Catherine
s’allongea alors, joue contre le coussin et m’encouragea à continuer. Je pris
alors le collant à deux mains sur les bords et le baissait lentement, attrapant
par la même occasion les bords de la culotte et fit glisser le tout pour le
baisser juste sous ses fesses, Catherine se souleva, décollant son ventre de
mes cuisses comme pour m’aider à franchir plus facilement l’obstacle de ses
hanches en exposant son derrière potelé blanc laiteux, mis en valeur par le
noir de la robe retroussée à la taille et le noir du collant gainant ses
cuisses, juste sous ses fesses.
Déculottée, les fesses à l’air au milieu du salon,
confortablement installée en travers de mes cuisses sur le canapé, Catherine se
recoucha à plat ventre et attendit. De ma main gauche, je saisissais sa hanche
gauche et posais la paume de ma main droite sur sa fesse droite, encore tiède
de la chaleur du collant, mais qui se contracta sous ma main Catherine serra
les fesses, au point que la fente généreuse qui les séparait fut si étroite que
l’on aurait pas pu y glisser un doigt … le duvet blond de ses fesses généreuses
se hérissa … pourtant il faisait chaud dans la pièce … au lieu de commencer à
la fesser, je lui caressais une fesse, puis l’autre, comme pour les apprivoiser
… au bout de quelques caresses, Catherine saisit de sa main droite, ma main qui
la maintenait au niveau de la hanche, souleva un peu ses hanches de mes cuisses
pour tendre ses fesses potelées vers la fessée qui se faisait trop attendre et
me murmura :
« Fesse moi comme une sale gamine … …
vite !!! »
La première claque tomba sur sa fesse droite et
sous l’impact Catherine se tendit … une première claque suivit d’une
autre … jusqu’au nombre de cinq, avant que je change de
fesse et lui applique le même traitement … plus les claques tombèrent, plus
Catherine me serrait la main ; je me décidais de prendre une cadence rapide
d’une vraie bonne fessée, claquante et cuisante et c’est alternativement, d’une
fesse à l’autre, que je me mis à la fesser à cadence soutenue, les fesses
musclées de Catherine qui accompagnait chaque impact sur sa croupe tendue et
ferme d’un « aïe » ou d’un « ouille » … les minutes
passaient, rythmées par le bruit des gifles s’abattant sur une croupe qui
rougissait de plus en plus à vue d’œil et dont la ravissante propriétaire
poussait moins de cris de douleur, préférant mordre dans le coussin du canapé,
tout à battant des jambes, de plus en plus vite … et malgré la semi obscurité
de la pièce, ne perdant pas une vue du derrière de Catherine, dont le rouge de
plus en plus intense tranchait sur le noir de la robe et aussi des
cuisses gainées du collant,.
Catherine ne serrait plus les fesses aussi
fermement que lorsqu’elle attendait provocatrice que la fessée et plus la
fessée durait, plus ses fesses rougissaient, mais aussi plus la paume de ma
main commençait aussi à chauffer … Catherine ne criant pas grâce, le visage
toujours enfui dans le coussin, je continuais à lui fesser avec plaisir et
entrain, faisant toujours autant d’énergie et de rapidité ce bon derrière dont
les deux fesses qui sous les claques rapprochées, tressautaient dans tous les
sens , sa propriétaire se débattant en travers de mes cuisses alors que je la
maintenais fermement par la taille … Catherine se décida à tourner la tête vers
moi et tout en me prenant la main gauche qui lui serrait la taille et me
supplia d’arrêter :
« Arrête …
je t’en prie, arrête …!!! »
Je lui administrais encore quelques bonnes claques
histoire de lui faire comprendre que si cette fessée, c’est elle qui l’avait
réclamée, qu’elle était aussi dans une tenue et une position désavantageuse
pour qu’elle réclamait …
« je n’en peux plus … arrête s’il te plait …
mes fesses vont prendre feu »
Je m’arrêtais … je passais ma main sur les deux
fesses bien rouges … Catherine, les yeux humides, échevelée, récupérait de
cette bonne fessée, prostrée les fesses à l’air, allongées en travers de mes
cuisses sur le canapé … je voulus lui remettre son collant et rabattre sa robe
sur les fesses, mais elle refusa, préférant attendre que ses fesses retrouvent
une température normale et lui frôlant à nouveau les fesses, je pus constater
qu’elle n’exagérait pas et que ses rondeurs étaient non seulement écarlates,
mais aussi brûlantes…. nous ne
pouvions rester ainsi, à attendre que ses fesses reprennent une couleur et une
température normales, il fallait retourner au bureau, le trajet, les
préparatifs de la fessée et la fessée proprement dite ayant duré presque toute
l’heure du déjeuner. Catherine se redressa à genoux à mes côtés, collant non
remonté, ses mains sous sa robe et se massant énergiquement les fesses comme
pour les rafraîchir … elle se releva, remonta sa culotte sur ses fesses en
grimaçant, ôta son collant qu’elle fit disparaître dans son sac à main dont
elle sortit une paire de bas noirs auto fixant qu’elle enfila devant
moi …
« J’ai déjà du mal à supporter le contact de
ma petite culotte, alors avec un collant par-dessus, je ne t’explique pas …
heureusement que mon mari est en déplacement car sinon je ne sais pas comment
je pourrais justifier mes fesses cramoisies !!! »
Nous retournâmes ensemble au travail, Catherine me
faisant des commentaires sur l’arrière saison et le vent s’engouffrant sous sa
robe, permettant ainsi à sa partie charnue de refroidir un peu plus rapidement.
« D’habitude à cette saison, je mets rarement
des bas car j’ai froid aux fesses … aujourd’hui ce n’est pas le
cas !!! »