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dimanche 2 septembre 2018

Entre mon institutrice et ma mère, la fessée faisait consensus



Quand j’avais 8 ans, ma maîtresse de CE2 et Maman accordaient leurs fibres maternelles sur le principe d’une « bonne fessée » pour me guérir de mes étourderies en classe.

A 8 ans j’ai été très marqué, positivement, par une jeune institutrice de CE2, Madame L. Elle donnait parfois la fessée et pourtant, je suis persuadé que tous ses élèves, les filles comme les garçons, en gardent un excellent souvenir. Je dois dire qu’elle se donnait corps et âme à ses élèves d’une façon maternelle. Elle était toujours souriante et avait beaucoup d’humour, y compris dans ses nombreuses et quasi quotidiennes références à la fessée.

La fessée en elle-même ne « tombait » pas souvent, mais cela arrivait. Elle procédait à un déculottage en règle suivi d’une fessée interminable et très travaillée. Redoutable, rien qu’à la voir ! Et redoutée… Aucun d’entre nous n’aurait pris le risque de mériter une fessée déculottée pour vérifier personnellement ce qu’il aurait ressenti. Son sermon menaçant ne nous laissait pas de doute : on allait recevoir la fessée. Pour elle, la fessée c’était la « Punition », la vraie, la seule. Pas de retenues, pas de lignes.

Je l’ai revue par hasard trente ans plus tard. C’est elle qui m’a reconnu. Nous nous sommes fait la bise et avons parlé de tout autre chose que de souvenirs. Et décidément, son sourire ne semblait jamais l’avoir quittée.

Madame L. aimait donner un caractère public à l’évocation de la fessée. Elle nous faisait vite comprendre que ses menaces pouvaient être suivies d’exécution. Si la fessée était affaire privée à la maison, elle s’y prenait à merveille pour donner un caractère honteux à ses fessées qu’elle administrait en pleine classe devant tous les élèves. Et quelle fessée !

A quelque élève fautif qu’elle désirait punir, elle ajoutait à la menace un questionnement sur la façon de le châtier chez lui. Et ses questions étaient en soi un véritable tourment.

« Ta maman te donne la fessée chez toi ?… Souvent ?… Comment ?… Elle baisse ta culotte ?… ». Puis menaçante : « J’ai bien envie de te claquer les fesses… Je vais te rougir les fesses… Je vais te donner une grosse fessée, une fessée exemplaire… Je vais te déculotter et te donner ta fessée cul nu ».

Et elle tenait sa promesse face au puni bourré d’inquiétude !

Je crois que nous avons presque tous reçu, au moins une fois dans l’année, la terrible fessée de Madame L.

Quand nous avions été pris en défaut, elle nous faisait venir à son bureau où elle restait assise, et nous devions l’écouter nous sermonner. Le plus souvent elle nous renvoyait à notre pupitre :

« Allez file à ta place, et gare à toi la prochaine fois !…, ajoutant une dernière pique : sinon ce sera une bonne fessée déculottée ! »

Si malheureusement elle se levait sans un mot, l’air glacial et distant mais en maugréant, c’était mauvais signe. Atterrés, on la voyait déplacer sa chaise sur l’estrade pour mieux… passer aux actes.

« Viens ici ! »

Le rituel pouvait commencer.

Elle enlevait ou levait tous les obstacles qui s’interposaient entre sa main et nos petites fesses : pantalon, robe, puis slip ou petite culotte, et hop ! à plat ventre sur ses genoux !

Parfois, le ou la punie était déjà en larmes avant même d’être en position, ce qui lui valait une remarque sèche :

« Je vais te donner de quoi pleurer ! Et d’avertir tout le monde : Le premier ou la première qui se moque est le suivant. »

Puis elle donnait la fessée. Dans le silence de la salle de classe, on n’entendait plus que le bruit caractéristique des claques de la fessée à derrière nu et des sanglots. De « vraies » larmes cette fois-ci. C’était une fessée méthodique, du haut des cuisses aux fesses. Madame L. semblait se concentrer patiemment et sans ciller à son cuisant ouvrage. C’était une fessée travaillée, interminable. Une fessée comme en donneraient père et mère, mais que nous recevions comme telle avec l’angoisse ne sachant pas quand elle allait finir.




Un matin, au moment de ramasser mes devoirs, Mme L. dut voir à ma mine inquiète que j’avais mal travaillé. Manque de chance, un rapide coup d’œil sur mon cahier bâclé lui donna raison. Son regard se fit lourd de menaces et à ses paroles je crus que j’étais bon pour la fessée.

« J’ai bien envie de claquer tes petites fesses !… »

Mais elle n’en fit rien et passa à l’écolier derrière moi. J’avais eu très chaud !

Quand Maman vint me chercher à la sortie, Madame L. lui fit signe de venir et, comme toujours avec le sourire, elle lui fit un compte rendu détaillé de ma journée, insistant bien sur mon inattention en classe qui aurait mérité une fessée qu’elle avait hésité à me donner pour cette fois devant tout la classe.

Maman acquiesça, se disant d’accord avec ma maîtresse. Mes petites fesses méritaient bien la fessée pour ma négligence, mais on m’épargnait exceptionnellement de me la donner en public parce que j’étais assez sage d’habitude. Mais je devais être puni.

Débutée sur le ton de la confidence, la discussion s’était achevée sur celui de la complicité. En les écoutant avec une grosse boule d’angoisse dans le ventre, j’avais eu le sentiment que cela finirait mal pour moi.

Je n’ai pas souvenir des paroles échangées, mais leur sens pénible ne m’avait pas échappé. Ma maîtresse était également maman de deux grands garçons pour qui un tel comportement valait fessée, avait-elle affirmé. Je me doutais qu’aurait lieu une conversation « entre quatre yeux » avec Maman quand nous serions à la maison.

Nos parents ne plaisantaient pas avec un mauvais comportement à l’école et Maman fut toujours intransigeante sur ce point, que ce soit avec moi ou mes sœurs.

La fessée promise était inéluctable, je le savais. Sauf circonstances exceptionnelles, elle ne se faisait pas attendre longtemps.

Une fois arrivés à la maison, je fus envoyé dans ma chambre à attendre la « conversation » et mes sœurs dans la leur pour faire leurs devoirs.

Cette brève attente n’en était pas moins angoissante : il n’y avait pas de « petite » fessée avec Maman. Plus que des « grosses » depuis la fin de la petite enfance. Quelque temps plus tôt elle m’avait déjà gratifié d’une fessée déculottée devant témoins. Je repensais à cette maudite journée, à ces instants volés d’insouciance, aux menaces de Madame L., au soulagement finalement temporaire, qu’elle n’ait pas exécuté sa menace de me claquer les fesses devant toute la classe.

Et à présent, c’était l’imminence de la fessée qui m’angoissait. Dans un instant mes fesses allaient essuyer les foudres maternelles et je devrais faire face à la honte puisque mes sœurs dans la chambre voisine entendraient le bruit des claques, mes cris de douleur… Non, il ne fallait pas que je crie, l’orgueil du petit « mâle ». Je me préparais aux batailles à mener… perdues d’avance, c’était fatal !

Les minutes s’écoulaient. J’écoutais les bruits de la maison. Puis j’entendis Maman qui s’assurait que mes sœurs faisaient leurs devoirs… Puis ses pas se rapprochèrent de ma porte. Encore quelques secondes et… Maman entra, le visage sévère, s’approcha de moi, me saisit les mains. Je fus prié de la regarder dans les yeux.

Inutile d’argumenter. Je n’eus même pas droit à une défense. J’étais en tort et la sanction était la fessée. Une « bonne fessée », précisa-t-elle. L’adjectif n’était pas anodin. Il faut garder à l’esprit qu’en ce temps-là, les fessées données par les maîtresses à d’école, les monitrices à la colo et les parents à la maison étaient de vraies fessées.

Maman prit ma chaise, s’assit et me fit signe de venir me placer à sa droite. J’étais paralysé essayant d’éviter mon cuisant destin tout en sachant que de toute façon, il me fallait quand même l’affronter.

Mes forces m’abandonnèrent et je dus me laisser déculotter. Elle déboutonna la braguette du pantalon qu’elle abaissa immédiatement jusqu’aux genoux. Elle en fit autant pour mon petit slip, et une fois mes fesses dénudées, me bascula en travers de ses genoux. Tête en bas, je cherchai à reprendre mon équilibre, mais elle m’y aida en resserrant sa prise autour de ma taille, et en m’ajustant fermement sur ses cuisses à la recherche de la meilleure exposition de mes fesses nues pour bien les claquer. À ce moment-là, mon cœur battit plus fort.

Je crispais mes fesses d’angoisse. Je les durcissais de toute mon âme pour amortir le choc à venir, mobilisant à nouveau ma volonté de résister. Puis Maman resserra encore sa prise, et je ne pus que deviner le bras qui se relevait, retenant mon souffle.

Soudain une explosion sèche retentit. La première claque fut appliquée avec force, la première d’une longue série qui déjà ébranlait, outre mes fesses, ma résistance. Je ne pourrais tenir longtemps.

A peine le temps de reprendre mon souffle coupé par l’onde de choc sur la fesse claquée qu’une deuxième claque retentissait. Une sensation de chaleur envahit mes fesses, encore supportable. Mais pour combien de temps ?…

Puis une véritable averse de gifles se mit à tomber.

Je dus serrer les dents pour retenir les gémissements qui se pressaient contre mes lèvres. Je tentais de repousser la douleur croissante en pensant à mes sœurs dans leur chambre voisine. Surtout ne pas pleurer ni gémir, non, surtout pas !… Mais très rapidement la concentration excessive de la douleur aux mêmes endroits me donna l’impression d’une éruption volcanique qui incendiait mes fesses.

La fessée se poursuivit. Je tendais et détendais les jambes en réaction aux claques cuisantes. Les limites de mon endurance furent atteintes, et une nouvelle et fatale claque anéantit mes résolutions. Un cri et les premières larmes annoncèrent ma défaite.

Inflexible, Maman n’en tint pas compte. Elle fit une brève pause pour ajuster ma position puis elle reprit son infernale claquée. Comme je ne pouvais plus crisper mes fesses, elles se soulevaient et, bien involontairement, allaient à la rencontre de sa main. Bientôt, ma chambre fut emplie de clameurs, cris et sanglots, accompagnant les claquements nets des claques de sa main sur mes fesses nues.



Et cette main, cette frêle main droite, était pourtant infatigable. Bien que moins fortes que les fessées que me donnait mon père, elles n’en étaient pas moins marquantes. Et plus longues. La douleur était plus profonde et s’installait comme au fond de moi.

Et tout à coup, tout me sembla perdu. Obnubilé par la douleur, les yeux aveuglés de larmes, ma résistance était à bout. C’est l’instant de la fessée, où le temps est comme suspendu, où plus rien ne compte que cette abominable cuisson que chaque claque amplifie et, qui de seconde en seconde, épuise moralement et physiquement.

Après une longue série de claques entrecoupées de petites pauses pour réajuster ma position, ou chasser une main réflexe de protection, ou encore me laisser respirer entre mes cris et hoquets de larmes, Maman s’attaqua à mes cuisses blanches et fraîches, sa main insistant du côté des plis fessiers. Sur cette surface vierge, ses claques étendirent la douleur, ravivant mes dernières réactions de défense.

À son habitude, Maman parachevait son ouvrage. Pas une once de peau n’échappait à sa main correctrice. Les fesses et les cuisses, surtout les fesses qui avait eu un peu le temps de tiédir tandis qu’elle s’attaquait à mes cuisses et aux plis fessiers. Elle cherchait à répartir les rougeurs de façon égale, que chaque coin de peau ait part égale, ce qui cette fois rendait chacune de ses claquées d’autant plus imprévisible.

Le temps de la résignation était venu durant lequel seul compte le désir qu’elle mette fin à l’ardent brasier. J’étais désormais résigné à cette fessée, je l’avais acceptée, sans plus de réactions.

Puis les claques cessèrent. La fin tant attendue ? Voire ! Maman me sermonna à nouveau, me rappelant le motif de ma fessée, l’importance du travail et du comportement à l’école, etc. Après cette longue remontrance avais-je l’espoir qu’elle me remette debout ? Mais elle avait dit : une « bonne » fessée…

Espoir envolé car elle se remit à me fesser à grandes rafales de claques qui semblaient ne plus jamais cesser. Je m’égosillais sans pudeur et sans pouvoir faire autrement que de crier et pleurer au bouquet final de ce feu d’artifice. Impossible de contenir mes cris, mais c’était mon dernier souci.

Je pensais m’attendre au pire, que Maman ne s’arrête plus, mais tout aussi imprévisible que la reprise et le prolongement de ma fessée, elle prit fin. Maman me releva de ses genoux et je pus entamer la « danse de la fessée » en frictionnant mes fesses et mes cuisses enflammées.

Après avoir retrouvé mon calme, Maman m’envoya au coin et quitta ma chambre. Ah ! le coin ! C’était le moment privilégié où, seul, je pouvais reprendre mon souffle et essuyer mes larmes malgré l’interdiction de frictionner mes fesses bouillonnantes, cuites et recuites. Mais la fessée était bien finie !

Quelques minutes plus tard Maman revint. Elle me fit promettre d’être raisonnable en classe, puis elle me pardonna et me fit un gros câlin. Tout était oublié et je retrouvais l’amour de ma maman.

Cependant, elle avait mis une ultime condition : bien faire mes devoirs avant de passer à table si je souhaitais ne pas finir la soirée par une nouvelle fessée.

Elle n’eut pas lieu ! La très cuisante leçon avait suffi… pour un temps.

samedi 14 avril 2018

Récit : Sandrine, belle fessée et belle fesseuse (1° partie)

Au milieu des années 2000, j’ai fait la connaissance d’une complice, Sandrine, la quarantaine, professeur de langues, grande amatrice et je devais le découvrir plus tard, grande consommatrice de fessées ; après une longue correspondance via Internet, nous avons convenu, une rencontre pour mieux faire connaissance et discuter, avant de nous retrouver une soirée pour nous adonner à notre passion commune.
Le jour et l’heure convenus, lorsque j’ai sonné à la porte de son appartement, elle m’a ouvert la porte, vêtue d’un tailleur noir, les jambes gainées de lycra gris et chaussée d’escarpins, j’ai compris qu’elle avait mis tous les avantages de son côté pour me séduire et la fesser ; si jusqu’à présent j’avais fessé des derrières féminins dont la taille flirtait avec les 40, 42 et en la regardant bien, je craignais qu’un petit derrière comme le sien (taille 36-38) puisse mal amortir une bonne fessée … je me trompais …
Autour d’un rafraîchissement, avons convenu des règles du jeu avant de commencer : pas d’attouchements sexuels, définition d’un mot code pour cesser, … une fois tout ceci fixé et acté, Sandrine n’étant pas réticente à recevoir de suite une bonne fessée, m’a demandé de la suivre dans sa chambre, lieu tranquille qu’elle avait choisi et préparé pour sa discrétion, m’a fait asseoir sur le bord du lit et s’est allongée en travers de mes cuisses, la poitrine reposant sur le couvre lit et les jambes pendant ans le vide ;., j’ai retroussé la jupe cintrée du tailleur pour la lui rabattre sur la taille et découvrir qu’elle portait non pas un collant, mais des bas avec jarretières et une ravissante mini-culotte que je lui fis glisser jusqu’aux plis des genoux, déculottant un ravissant petit derrière, hâlé, légèrement potelé …
La maintenant fermement par la taille, je la vis croiser pudiquement les chevilles, faisant crisser ses bas lycra et sans lui demander si elle était prête, voyant ses fesses se contracter, je commençais à la fesser, d’une fesse à l’autre, ma main rebondissant allègrement d’un globe sur l’autre. 


 
De temps à autre, je m’arrêtais pour vérifier de l’efficacité de la fessée et aussi pour entendre si Sandrine avait quelque chose à me dire, car cela faisait plusieurs minutes, que je lui claquais la croupe, lorsqu’elle me fit cette réflexion :
 
 « Si tu penses m’impressionner avec une toute petite fessée de rien du tout …»
Ebahi, je m’arrêtais … Sandrine en profita pour se relever. Une fois redressée, elle enjamba sa minuscule culotte qui lui entravait les jambes et s’en débarrassa, rebaissa sa jupe sur ses hanches, me prit la main pour me faire lever et s’assit à ma place.