J’ai terminé mes études secondaires comme pensionnaire dans un établissement mixte. Bien qu’en Terminale nous soyons presque tous majeurs, notre tenue vestimentaire était restée très classique et les filles portaient la tenue des jeunes-filles sages de l’époque (cheveux souvent longs réunis en queue de cheval ou retenus par un serre-tête, pull ou gilet bleu sur un chemisier clair, jupe plissée, chaussettes blanches et chaussures plates ou à petits talons).
L’école était équipée d’un laboratoire de langues isolé sous les combles auquel nous avions librement accès en prenant la clé à la conciergerie, mais seuls les internes l’utilisaient le mercredi après-midi. Ce jour là, j’y travaillais mon anglais avec Catherine, une bonne camarade. Après une bonne heure de travail studieux, Catherine commença à me taquiner et se vanta d’arriver à me « pousser à bout » (moi qui ne m’énervais jamais !). A force d’insister, elle y parvint et, lorsque que je lui annonçai que j’allais me « venger » , elle s’enfuit à toutes jambes, en fermant à clé la porte de la pièce derrière elle. Je restais ainsi prisonnier dans le petit laboratoire, une bonne partie de ce mercredi après-midi, enrageant de perdre mon temps, ma colère et mon impatience montant au fur et à mesure que le temps passait !
Enfin, la clé tourna dans la serrure, la porte s’ouvrit et une nouvelle Catherine apparut toute souriante du mauvais tour qu’elle m’avait joué. La lycéenne en uniforme avait fait place à une jeune femme cheveux défaits, vêtue d’un pull rouge, d’un kilt court, de collants bleu marine et d’escarpins. Elle m’annonça qu’elle était sortie en ville faire quelques achats, mais que prise de remords – ce que je ne crus pas un seul instant ! – elle revenait me libérer.
Je lui déclarai que malgré ses 19 ans, elle n’était qu’une sale gamine et en souriant et se moquant visiblement de moi, elle rétorqua :
« Si tu veux te venger, tu n’as qu’à me donner une fessée comme à la sale gamine !!! »
La fessée… la fessée pour Catherine… Je trouvai cela à la fois amusant et un peu excitant, mais je lui avouai n’avoir jamais fessé personne et encore moins une fille de mon âge… Avec un sourire de plus en plus coquin, elle m’avoua avoir envie de tenter l’expérience mais que je devais me dépêcher avant qu’elle ne change d’avis… Après tout pourquoi pas ?…
« Et pourquoi pas !!! « lui déclarais-je, les yeux dans les yeux.
Catherine sortit dans le couloir pour inspecter l’étage, jusque dans le escaliers, avant de revenir et de verrouiller la porte derrière elle. Elle installa une chaise dans un coin éloigné des fenêtres, m’invita à m’y asseoir et m’annonça la règle du jeu : ignorer ses suppliques et ruades, mais arrêter la fessée dès qu’elle me le demanderait. Et qu’elle prononcerait : « Pouce, ça suffit, je ne joue plus !!! »
Je m’asseyais donc sur la chaise … Catherine s’allongea à plat ventre en travers de mes cuisses, les mains à plat sur le sol d’un côté et les escarpins en pointe sur le plancher de l’autre, le derrière surélevé … sa courte jupe remonta si haut que je pouvais apercevoir la démarcation de son collant … D’une main, je la maintenais à la taille pour qu’elle ne risque pas de glisser et de tomber, mais aussi pour l’empêcher de se relever et de s’échapper, tandis que de l’autre, je me mis à tapoter le fond de son kilt tendu sur son derrière… Mais la tentation étant trop forte, j’y cédai en accélérant la cadence et la fermeté des claques …
Catherine qui n’avait pas réagi jusque là m’apostropha :
« Dis-moi, tu manques vraiment d’audace ! Ce n’est pas une fessée ça : je ne sens rien ! Tu ne sais donc pas qu’une bonne fessée se donne jupe retroussée ?
L’occasion était trop belle et je me lançais sans me le faire répéter ! Ma main glissa sur ses jambes gainées de nylon et retroussa sa courte jupe jusqu’au-dessus de sa la taille, pour la rabattre au creux de ses reins. Je devinai alors une ravissante petite culotte blanche sous le collant opaque puis, le rouge aux joues, je me mis à frôler ses fesses que je sentais chaudes, fermes et tendues mais Catherine me fit retomber sur terre :
« Tu ne dois pas me donner une bonne fessée ? Qu’est-ce que tu attends ? »
Je n’avais d’autre choix que de m’exécuter et je levai bien haut mon bras et le bruit que fit la première claque tombant sur son derrière tendu me surprit et je ne dus pas être le seul si j’en crois le « aïe ! » que poussa Catherine n se cabrant jambes tendues … Puis je me pris au jeu et la tenant fermement par la taille, je lui claquai alternativement une fesse puis l’autre. Elle répondait à chaque gifle par un cri plaintif en serrant les fesses tout en les tendant vers moi. Ma main s’abattait sur chacune de ses rondeurs avec entrain et fermeté et bientôt elles, si fermes au début, devinrent plus molles et ne se contractaient plus après chaque claque, tandis que malgré l’opacité du collant, je les voyais se teinter de rouge. Avec le rythme soutenu et la sévérité de la fessée qui s’abattait régulièrement et alternativement d’une fesse à l’autre, toujours avec la même énergie et ardeur, Catherine gigotait de plus en plus tout en battant énergiquement l’air de ses jambes, elle en perdit même ses chaussures !
Cela faisait de longues minutes que je la fessais lorsqu’elle me demanda d’arrêter. Respectant la règle établie au départ, je cessai immédiatement mais non sans regret ! Toujours allongée sur mes genoux, Catherine, se massait à deux mains le derrière tout en commentant sa fessée affirmant qu’elle n’aurait jamais pensé qu’un garçon « aussi gentil et aussi poupon » que moi puisse avoir une telle poigne. Moi, je profitais du spectacle qu’elle m’offrait et j’admirais mon œuvre en constatant que ses fesses semblaient bien rouges à travers le bleu foncé du collant et le blanc de la culotte !
Catherine se releva en rechaussant ses escarpins pour s’asseoir sur mes genoux. Elle posa sa tête contre mon épaule comme pour se faire pardonner et me chuchota à l’oreille que sa mère lui donnait encore la fessée malgré ses 19 ans lorsqu’elle rapportait un mauvais bulletin de notes et qu’elle ne se contentait pas de retrousser sa jupe mais que le plus souvent elle lui baissait aussi la culotte…tandis que je sentais la chaleur de son derrière sur mes cuisses malgré les épaisseurs de son kilt et de mon pantalon.
Nous serions bien restés ainsi des heures mais l’heure de dîner avait sonné. Nous nous dirigeâmes donc tous deux vers le réfectoire, comme si rien ne s’était passé et nous nous installâmes l’un en face de l’autre … pendant tout le repas, Catherine n’arrêtait pas de bouger sur son tabouret en grimaçant et en me souriant .
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