Suite à cette fessée et quand nous en reparlions, Sylvie acceptait de bon cœur que rien de tel qu’une bonne fessée jupe retroussée et pourquoi pas culotte baissée pour résoudre les bouderies, caprices, disputes, surtout quand elle se comportait comme une gamine et que je ne m’en fasse pas pour ses rondeurs suffisamment fermes et musclées et que même si c’était de longues minutes désagréables, il suffisait de serrer les dents et les fesses, d’attendre que l’orage passe et cela finirait bien par cesser au prix de quelques rougeurs !!!
Nous nous étions mariés en juin 81 et depuis l’été passé, il n’avait plus été question de fessée entre nous, même pas sous forme de menace ; deux mois après notre mariage, nous fûmes invités à celui de deux de nos meilleurs amis, Marc et Christiane, qui avaient décidé de ne se marier qu’entre les deux témoins que nous étions tous deux. Sylvie avait prévu et promis depuis de nombreuses semaines d’acheter les fleurs, si bien que le samedi matin du mariage, je pensais que nous n’avions plus qu’à les récupérer et rejoindre les futurs mariés à la mairie. Absent toute la semaine, j’étais rentré tôt le matin même du mariage, à notre appartement où Sylvie m’attendait déjà prête, habillée pour la cérémonie élégante en tailleur gris, les jambes gainées de nylon du même ton, chaussée d’escarpins.
Pendant que je me préparais, une fois douché et rasé, je pensais n’avoir plus qu’à prendre avec elle le chemin de la mairie lorsque Sylvie s’énerva, m’incita à me dépêcher et finit par m’avouer qu’elle ne s’était pas occupée du tout des fleurs et qu’il fallait ne pas perdre de temps pour aller en chercher et surtout en trouver moins de deux heures avant la mairie. Finissant de me préparer, j’entendais Sylvie continuer à tempêter, jusqu’à ce que je l’entende m’accuser d’avoir négligé d’acheter les fleurs. Je sortis de la salle de bain et une fois dans le salon, je la trouvais trépignant des deux pieds sur la moquette telle une gamine capricieuse.
Cela en était trop. Je l’entraînais par la main vers notre chambre, m’asseyait sur le bord de notre lit, sans hésitation la renversais allongée en travers de mes genoux. Devinant ce qui allait lui arriver, elle ne se laissait pas faire, se trémoussant dans tous les sens, ruant des jambes …
S : « ,arrêtes nous allons être en retard … d’accord je mérite la fessée … tu n’auras qu’à me la donner ce soir au retour … »
Mais il n’était pas question d’attendre ce soir … je lui saisissais les poignets, les lui rabattais dans le dos et retroussais la jupe du tailleur, la rabattais sur sa taille …
S : « s’il te plait pas comme ça … donne moi la fessée par dessus ma jupe … »
Je découvrais une jolie paire de bas gris du plus bel effet, avec culotte et porte-jarretelles dans le même ton … Toujours sans perdre de temps, de ma main libre, saisissant l’élastique de la ravissante culotte , je la lui descendais, mais elle se coinça avec les jarretelles juste sous ses fesses …
S : « oh non pas ma culotte … ça fait trop mal …NON !!! «
Je posais ma main droite bien à plat sur l’une de ses fesses comme pour en prendre la bonne mesure … instinctivement, Sylvie serra les fesses, les durcit comme du marbre, pressentant la bonne fessée qu’elle avait cherchée et qu’elle allait recevoir !!!
Je levais la main … Une avalanche de claques sonores s’abattirent sur la croupe rebondie de Sylvie qui virait peu à peu du rose à un beau rouge vif à mesure que progressait la fessée, arrachant des cris de rage et de douleur à ma jeune épouse, serrant du plus fort qu’elle pouvait ses fesses rondes qui tressautaient sous les gifles. Sylvie eu beau crier, supplier, menacer, promettre rien n’y fit et les yeux fixés sur les globes fessiers qui tressautaient sous les claques, je ne perdais rien du spectacle … je suis sûr qu’elle grimaçait, serrant à pleine les dents les draps du lit, retenant par fierté ses larmes de honte, de rage, de douleur …
Après de longues minutes rythmées par le battant de la paume de ma main sur le fessier dénudé de Sylvie, vu sa couleur, mais sa chaleur, je m’arrêtais… Relâchant mon étreinte, Sylvie se releva, fesses et joues écarlates, des larmes au fond des yeux et disparut de la chambre, jupe retroussée et fesses à l’air … Finissant de me préparer, je la retrouvais dans le salon, repassant la jupe de son tailleur en chemisier, bas et escarpins, les fesses écarlates, tranchant sur le gris de ses dessous et de ses bas.
Nous trouvâmes des fleurs et le mariage eut lieu, ainsi que les photos des mariés avec nous. Quelques années plus tard, en soirée, nos amis nous projetèrent les photos du mariage et nous apparaissions tous deux sur l’une d’entre elles, Sylvie me tenant par l’épaule, ma main lui enserrant la taille et les hanches. Durant cette projection, elle se pencha à mon oreille et me murmura :
« Tu te souviens de la fessée que tu m’as donnée ce matin là ? Mes fesses en frémissent encore !!!
« Tu te souviens de la fessée que tu m’as donnée ce matin là ? Mes fesses en frémissent encore !!!
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