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samedi 22 octobre 2011

Une mésaventure d'Alain : la vengeance de Sylvie


La vengeance de Sylvie : la vengeance d’une brune !!!


Quelques semaines auparavant, à la suite d’une bonne fessée reçue pour avoir fait un chèque sans provision, Sylvie s’était relevée, les yeux embués de larmes, avait quitté le salon où s’était tenue la punition conjugale en se frottant le derrière des deux mains par-dessus la robe en direction de notre chambre d’où elle revint quelques minutes plus tard, après avoir examiné toute la surface de son derrière écarlate et brûlant dans le miroir de la porte de l’armoire, puis revenant au salon, avait retroussé sa robe sur ses hanches et m’offrant le spectacle de ses fesses écarlates en baissant collant et culotte pour m’avait annoncé : S : « je me vengerai !!! ». Et bien, quelques semaines plus tard, elle le fit…
 
Nous étions à l’époque, au début des années 80, dans les premières années de notre mariage à Nancy. La société pour laquelle je travaillais m’envoya un jour sur Paris et sa banlieue, pour y récupérer du matériel et je devais faire la liaison rapidement dans la demie journée et avant le week-end de Pâques. Juste après le déjeuner que je pris dans notre appartement avec Sylvie, cette dernière me fit promettre de lui téléphoner lorsque je serai sur la route du retour, en soirée.
 
Je pris donc la route, parvins au sud de Paris y percevoir de la documentation et dus faire un détour sur Pontoise pour y prendre du matériel, tout cela avant de prendre la route du retour. Je m’arrêtais dans un resto-route aux environs de Chalons sur Marne à l’époque, mais avant je me dirigeais vers les cabines téléphoniques qui toutes étaient occupées ; je me dis donc que je téléphonerais à Sylvie après le repas et je dînais. Bien sûr, une fois ma collation prise, pressé de rentrer je repris le volant sans téléphoner. Quand j’arrivais fort tard sur Nancy et rentrais chez nous,  Sylvie me fit remarquer  qu’elle attendait encore mon appel téléphonique et bêtement, je mentis en lui répondant  que je n’avais pas trouvé de cabine téléphonique.
 
Nous avions prévu de passer le week-end pascal en Champagne et lorsque nous en revînmes, chaque fois que Sylvie apercevait une cabine téléphonique sur une aire de repos, elle me la faisait remarquer … si bien que lorsque nous fumes tous deux chez nous, elle m’annonça qu’elle n’aimait pas ni les menteurs, ni les gens de mauvaise fois et qu’elle allait me « punir » en conséquence par une fessée !!! J’eus beau fanfaronner, lui affirmer que la fessée était réservée aux « vilaines grandes filles », elle me répondit que son côté « suffragette » l’incitait à penser le contraire et que pour l’égalité des sexes, pourquoi les « filles » ne fesseraient » elles pas les « méchants garçons » menteurs de surcroît …
 
Ma dernière fessée reçue de la main de ma tante pour ne pas préparer studieusement ma rentrée au lycée remontait à une dizaine d’années et je ne m’imaginais pas dans la même position et tenue sur les genoux de ma femme … tout en remontant sa jupe sur ses cuisses gainées d’un collant gris, Sylvie assise sur une chaise de la chambre me fit signe de m’approcher … elle m’attira à elle, défit ma ceinture et l’agrafe de mon pantalon, puis descendit la fermeture éclair … je me retrouvai debout devant elle en slip, mon pantalon sur les chevilles …
Sylvie :  «Maintenant, allonge-toi sur mes genoux ! »
Je comprenais devant sa détermination que je ne pouvais que lui obéir et m’allongeais en travers de ses cuisses, les deux mains appuyées sur le sol, mes fesses en l’air.
Elle commença à les tapoter avec des petites claques ressemblant  plutôt à des caresses …
Sylvie : « Voilà un derrière qu’il ne faut pas faire attendre ! » … et je sentis qu’elle baissait mon slip et elle me donna une autre petite claque pour m’inviter à me soulever, à décoller mon ventre de ses cuisses afin de permettre un déculottage dans les règles …
Sylvie : « Une bonne fessée se donne sur les fesses nues, Monsieur ! C’est bien ce que tu me dis et fais lorsque je ne suis pas sage ??? »
Mon slip fut descendu à mes genoux, mon bas ventre nu contre le nylon de son collant  je suis sûr que tout comme moi dans les mêmes occasions lorsque les rôles étaient inversés que Sylvie devait contempler mon derrière, un petit sourire aux lèvres et soudain  la fessée commença, claquante et cinglante dès le départ. Sylvie m’administrait de bonnes claques, bien espacées sur une fesse puis sur l’autre. Par fierté masculine, je tentais de résister à la douleur et de ne pas crier, de ne pas supplier …. mais la chaleur et la douleur devinrent insupportables … je ne pus me contrôler: je me mis à crier de douleur et sentis des larmes couler sur mes joues. 
Insensible, imperturbable, Sylvie continuait à me fesser en me maintenant fermement par la taille, tandis que je battais des jambes et gigotais, me débattais en travers de ses cuisses, mes fesses en feu … mais les claques se succédaient toujours aussi fortes d’une fesse à l’autre … 
La fessée fut rapide et intense et soudain Sylvie s’arrêta aussi brusquement qu’elle avait commencé … le bruit et la douleur des claques cessèrent … je restais prostré en travers de ses cuisses, les fesses douloureuses et brûlantes, avant que Sylvie m’invite à me redresser et à mettre de l’ordre dans ma tenue … une fois debout, tandis que je remontais ensemble slip et pantalon, Sylvie, toujours souriante,  m’annonça que chaque fois que je lui mentirais, je serais fessé comme un « gamin » !!! Elle ajouta que maintenant que j’avais découvert les effets d’une bonne « fessée cul nu » que je n’aurais plus l’hypocrisie de lui demander si cela faisait mal quand je la fesserai plus tard !!!

Plus jamais depuis maintenant 30 ans de mariage, je ne lui ai menti.

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