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mardi 8 février 2011

Une cousine , la plage, une fessée publique

Cette année là, au début des années 80, je fus l'été, pour des certaines raisons, avec d'autres cousins, et très majoritairement cousines, en vacances, avec un tonton et donc une tata, en vacance, dans le sud de la France. J'étais avec ma cousine préférée Sandrine, et d'autres cousines/cousins, et tout se passait merveilleusement bien.

Tonton était juste un peu plus sévère avec ma cousine, sa fille, Sandrine, tout comme tata d’ailleurs, et à chaque petit dérapage, demandait, si "elle voulait avoir une raison de pleurer". Ce qui pour tous, toutes, signifiait une raison de recevoir une fessée, et nous calmaient tous/toutes. Surtout que si la funeste menace venait a être mise à exécution, c'était plus de "tata", dans la grande tradition familiale, que cela risquait de venir.

Mais non ce jour là, Sandrine, fut à vrai dire insupportable. Sans doute, je dois le reconnaître, je n'aurais pas essayé de l'être autant. Mais je ne sais. Une fessée publique sur une plage, brrr... Mais à cette époque le risque était faible pour le/la fesseur/fesseuse, à part d'être considérée comme bien peu sévère.

C'est ainsi que Sandrine, reçue sure cette plage, sur son maillot de bain, une dizaine de claques. Une humiliation, plus plus qu'une vraie fessée, pour l'époque.

3 commentaires:

  1. Oui à l'époque ça se faisait. Ma mère n'a pas hésité une seconde une fois sur la plage, mais déculottée devant tout le monde. J'étais morte de honte !
    Nathalie

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  2. prendre plaisir à une déculotté en puplic c'est déjà honteux si en plus tu t'es fais rougir les lunes qu'à tu fais pour le mérité, moi j'aurais bien aimé ça, quand personne te connais celà n'est si grave mais quand d'autres femmes de ta connaissance te vois nu fesses c'est vrai que sa peu être humiliant mais la honte vont de paire avec la fessée ...

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  3. Enfant dans les années 80-90 , j ai souvent reçu la fessée déculottée, même à l école. Une fois ma mère n a pas hésité à me déculotter sur le parking de l école, en cm2, suite à une plainte de la maîtresse. Je me suis retrouvée, culotte aux chevilles, pliée sous son bras , recevoir une bonne trentaine de claques.
    Le pire, ça a été le complément, donné au martinet, le soir, par mon père, penchée sur le canapé, ma culotte encore aux chevilles. La vraie punition de cette époque!!

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