Comme la plupart des collégiens, je suis entré en classe de sixième à l’âge de 11 ans où jusqu’en classe de troisième, j’ai suivi le parcours classique langue vivante (anglais) et langue morte (latin) comme beaucoup de collégiens à la fin des années 60. Ma mère avait pour meilleure amie Geneviève, professeur d’anglais, qui était aussi mon professeur d’anglais titulaire et c’est ainsi que Geneviève lui avait proposé de me donner quelques cours d’anglais particuliers, pour mieux aborder ma sixième.
Tous les mercredis après-midi, après les cours et le déjeuner, je me rendais chez Geneviève pour une à deux heures supplémentaires d’anglais. Un mercredi, j’étais chez elle et en fin de séance, elle m’interrogea sur des verbes irréguliers que j’aurais dû préparer depuis le début de la semaine en vue du test hebdomadaire du jeudi. Je n’avais rien révisé et, bien entendu, le résultat fut lamentable.
Geneviève m’expliqua que l’école primaire, c’était fini, qu’au collège je devais m’organiser, ne jamais remettre au lendemain ce qui pouvait être fait et que ce qui était fait, n’était plus à faire. Elle me laissa seul une vingtaine de minutes pour réviser les verbes puis reprit l’interrogation. L’épreuve terminée, comme d’habitude, elle m’invita à venir la rejoindre dans la cuisine pour y prendre un goûter comme je le faisais à chaque fin de leçon particulière.
Une fois tous deux dans la cuisine, Geneviève s’assit sur une des chaises et me tenant par les deux mains, m’attira à elle, sur son côté droit, tout contre sa jupe et ses cuisses et m’annonça :
« Vois-tu, mon petit Alain, je me suis dit que la prochaine fois que tu viens et que tu n’as rien préparé, que je te donnerais la fessée … et bien, je ne vais pas attendre la semaine prochaine, car cette fessée tu vas la recevoir de suite. »
« Vois-tu, mon petit Alain, je me suis dit que la prochaine fois que tu viens et que tu n’as rien préparé, que je te donnerais la fessée … et bien, je ne vais pas attendre la semaine prochaine, car cette fessée tu vas la recevoir de suite. »
Et sans me laisser le temps de digérer cette annonce, Geneviève tout en me maintenant par la taille, déboutonna mon short qui tomba sur mes chevilles, me renversa en travers de ses genoux et tout en me maintenant par la taille d’une main, de l’autre, elle me déculotta, baissant mon slip jusqu’à ms genoux. Sans perdre de temps, Geneviève mit sa menace à exécution et la fessée commença, les claques tombant sur mes fesses dénudées, d’une fesse à l’autre, tressautant sous les impacts, malgré mes « aie !!! », « ouille !!, mon derrière se mettant à chauffer rapidement …
Par chance, Geneviève n’était pas trop sévère et la fessée ne dura pas trop longtemps. Quand elle cessa, elle m’envoya au coin où je dus rester, face au mur, short et slip toujours baissés, les fesses à l’air. Quand Geneviève fut sortie de la pièce, je me risquai à jeter un œil sur mes fesses. Elles avaient pris la belle couleur rouge de tomates bien mûres ! Geneviève revint au bout ‘une dizaine de minutes et avant de m’offrir son goûter que je pris du bout des fesses, elle m’annonça en buvant ne tasse de thé, que la prochaine fessée serait plus sévère, si je persistais à ne pas m’organiser dans mon travail scolaire, du moins avec elle.
Depuis cette fessée, je n’ai cessé d’essayer de suivre le principe suivant :
« ce qui est fait, n’est plus à faire ».
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