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vendredi 2 septembre 2011

Les récits d'Alain : une fessée chacun !


Une fessée chacun ! Voilà ce que nous valut, à ma camarade Hélène et moi,  notre curiosité d’adolescents pour les dessous féminins. 

La leçon particulière d’anglais de Geneviève qui n’hésita pas à me donner une fessée pour que j’étudie régulièrement m’a servi tout le long de la sixième et aussi de la cinquième et même encore maintenant, je connais les verbes irréguliers en anglais. Pendant la classe de quatrième, nous nous retrouvions régulièrement ma camarade de classe Hélène et moi, chaque mercredi après-midi pour rédiger ensemble nos différents devoirs, chacun aidant l’autre et cela le plus souvent chez elle.
Ce mercredi-là, alors que sa mère était absente, Hélène fut tentée de me montrer quelques secrets dans la chambre parentale où elle m’entraîna. Elle ouvrit les tiroirs de la commode qui renfermait la lingerie de sa mère et en exhiba des bas nylon de toutes les teintes et autres dessous alors qu’au début des années 70  le collant avait déjà fait son apparition.
Bien sûr, pour nous qui avions 14 ans, la tentation était trop forte, surtout pour Hélène toujours vêtue de chaussettes blanches et de jupes plissées bleu marine. Elle troqua rapidement ses chaussettes contre une paire de bas nylon couleur chair autofixants, puis s’amusa à déambuler dans la chambre, en faisant virevolter sa jupe, à s’asseoir en croisant les jambes, tout ceci pour ma plus grande joie. Cependant, durant notre excitation, nous n’avions ni vu le temps passer, ni entendu la mère d’Hélène rentra la maison qui nous surprit donc tous deux dans sa chambre.  
«  Que faites-vous donc dans ma chambre ? Je croyais que vous deviez travailler tous les deux ? Je suppose que depuis mon absence que vous n’avez rien fait d’autre que de vous amuser ! »
La mère ‘Hélène nous fixait tous deux bras croisés depuis l’entrée de la chambre et elle remarqua les tiroirs ouverts de la commode puis les bas nylon qu’Hélène avait enfilés. 
« Je vais vous apprendre tous les deux à fouiller dans mes affaires ! Hélène, file dans ta chambre quant à toi Alain, attends-moi ici ! »
Hélène n’obéissant pas assez vite, sa mère la saisit par le poignet et toutes deux sortirent.. Hélène m’avait souvent raconté que sa mère était assez sévère et qu’elle n’hésitait pas lorsque cela était nécessaire en cas de désobéissance ou mauvais résultats scolaires, à prendre sa fille sur ses genoux, à lui retrousser sa jupe et à lui flanquer une bonne fessée, ce qui allait sûrement arriver !!! Je sortis donc dans le couloir à leur suite et sans me faire remarquer, m’approchai à pas de loup de la porte entrebâillée de la chambre voisine et souriait au spectacle qui m’était offert. La mère d’Hélène s’était assise sur une chaise, ma camarade allongée à plat ventre en travers des cuisses maternelles, tête en bas et derrière en l’air ; la jupe plissée fut rapidement retroussée, la culotte blanche glissa le long des bas à mi-cuisses et sans attendre, les claques se mirent à crépiter sur le derrière rebondi qui tressautait et rougissait sous les impacts tandis qu’Hélène se débattait en criant et en pleurant. Sa mère la fessa ainsi de longues minutes et lorsqu’elle cessa enfin, sa fille resta prostrée sur ses cuisses, le derrière écarlate, étouffant ses sanglots. Hélène se releva, rajusta sa culotte et sa jupe, ôta de ses jambes les bas nylon qu’elle tendit à sa mère.
 
Je filais rapidement vers la chambre où je devais attendre la suite des événements pour y attendre mon sort que je supposais, avec appréhension, guère différent de celui d’Hélène, mais moins sévère. Sa mère entra, fit du rangement rapide dans ses tiroirs et prit à mon tour me saisit le poignet et m’entraîna dans la salle où nous aurions du commencer nos devoirs. Elle s’assit sur une chaise et me fit signe, de l’index de m’approcher. Dès que je fus à sa portée, elle m’attira contre ses cuisses et aussi rapidement et efficacement qu’avec sa fille, elle déboutonna mon pantalon, le fit glisser jusqu’à mes genoux, mon slip prit le même chemin et elle me renversa sur ses genoux et une fois que je fus en position, un véritable déluge de claques crépita sur mon derrière dénudé.
Par réflexe, je serrais les fesses, mais la mère d’Hélène était experte en fessées et rien n’y fit. Tout comme ma camarade, je fus généreusement fessé jusqu’à ce que  mes fesses deviennent  de plus en plus douloureuses et brûlantes. Cherchant à me protéger d’une main, la mère d’Hélène me rabattit les poignets dans le creux de mes reins et les claques redoublèrent d’intensité; j’eus beau battre des jambes, la supplier d’arrêter, promettre tout et n’importe quoi, rien n’y fit, j’eus droit à la même fessée que sa fille … Quand j’éclatais en sanglots, enfin, au bout de longues minutes et plusieurs douzaines de claques sur les fesses, la mère d’Hélène arrêta la fessée.
Elle me laissa souffler et larmoyer, toujours allongé en travers de ses cuisses, me sermonna,  et m’expliqua qu’elle m’avait puni à la fois pour ma vilaine curiosité vis-à-vis des dessous féminins et aussi pour avoir profité du spectacle de la fessée de sa fille, car dit-elle, elle m’avait aperçu dans l’angle de la porte quelques minutes auparavant alors qu’elle fessait sa fille.
« La prochaine fois, je te fesserai le premier, devant Hélène qui elle aussi profitera du spectacle » m’avertit-elle.
Elle massa mon derrière chaud et endolori avant de me faire me relever et rhabiller pour rejoindre Hélène qui attendait à l’entrée de la pièce et qui elle aussi n’avait rien loupé du spectacle. Hélène et moi étions ainsi à égalité, mais ceci est une autre histoire. Je dois avouer qu’après cette double fessée, nos mercredis après-midi furent toujours studieux. 

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