Récit 18 : Catherine l’ingénue
J’avais gardé un agréable souvenir de
fessée avec la ravissante Catherine, ne restant pas indifférent
sur son derrière un peu large, potelé, mais bien musclé … Quelques
mois plus tard, à l’automne, au cours d’un café à l’issue du déjeuner,
Catherine m’aborda avec une mine de conspiratrice et à l’insu des oreilles
indiscrètes me murmura, sans rougir, qu’elle se laisserait bien tenter, pour
voir, par une fessée identique à celle du pari, mais jupe retroussée cette fois
ci … je lui proposais donc mes services
et me mettais à sa disposition quand et où, elle le souhaitait …
« Vendredi prochain, juste après la fin du travail, vu que je
suis de fermeture des bureaux» me chuchota-t-elle.
Le vendredi arriva et à ma grande
surprise, je n’aperçus pas Catherine de la journée, mais quand la fin de la
journée arriva, elle me téléphona depuis son bureau, quelques minutes avant
l’heure de fin du travail, m’annonçant qu’elle m’appellerait une fois tous nos
collègues partis pour m’annoncer de la rejoindre aux archives. Les collègues
partirent tous en cette fin de journée, veille d’un week-end rapidement, venant
toutes et tous me saluer et en attendant que le téléphone sonne et pour
m’occuper, je consultais mon agenda pour la semaine suivante ; c’est alors
que Catherine entra dans mon bureau m’annonçant que vu que nous n’étions plus
que nous deux dans la bâtiment et qu’elle avait fermé l’entrée principale, et
plutôt que de se faire fesser dans la salle des archives, les fesses à l’air et
le nez dans la poussière, elle avait changé d’avis et choisi mon bureau, mais
avant elle devait « faire le pipi de la peur ». Elle disparut
quelques minutes et à son retour, ferma les stores vénitiens de mon bureau
donnant sur le couloir, puis ceux donnant sur la rue, et verrouilla derrière
elle la porte.
Je pris alors le temps d’examiner cette
« grande chipie » de 35 ans qui pour l’occasion s’était vêtue de
façon sage et classique, chemisier clair, jupe foncée à plis, collant chair et
escarpins noirs … elle prit même le temps de tourner, faisant virevolter sa
jupe qui remonta à mi-cuisses, comme une enfant en m’annonçant que je n’avais
pas encore tout vu … Elle prit une de mes chaises visiteur qu’elle plaça au
milieu de la pièce, m’invita à y prendre place, ce que je fis sans me faire
prier … Elle s’avança vers moi, mains croisées dans le dos, un sourire coquin
aux lèvres et m’annonça :
« En avant pour la fessée … et encore mieux que la
dernière fois … j’en ai trop envie … je veux de la fessée claquante et cuisante …
et jupe retroussée !!! »
Et sans perdre une
minute, Catherine s’installa confortablement à plat ventre en travers de mes
cuisses. Sans perdre de temps, la ceinturant fermement par la taille de mon
bras gauche, je pris quand même le temps de retrousser lentement sans aucun mal
la jupe de cette « effrontée », le long de ses mollets, puis de ses
cuisses, jusqu’aux hanches et en rabattant largement le tissu au-dessus de la
cambrure de ses reins, j’eus l’agréable surprise de constater que Catherine portait
certes un collant, sans démarcation et que sous ce collant, elle ne portait pas
la moindre petite culotte et malgré l’opacité du collant ses fesses
potelées et nues, ainsi que la fente qui les séparait comme un fruit bien mûr,
apparaissaient comme en plein jour ; elle éclata alors de rire en
m’annonçant qu’elle m’avait bien eu et regrettait que si moi je pouvais plus
que deviner ses fesses, elle était un peu déçue de ne pas voir ma tête !!!
« Quand je pense qu’il y a de cela
quelques mois, tu m’exposais ta théorie sur la fessée jupe retroussée, mais
surtout pas culotte baissée pour laquelle tu ne te sentais pas prête, je trouve
que tu t’es rapidement dévergondée et je vais tout faire pour ne pas te
décevoir !!! » .
Pour toute réponse,
je vis ses fesses se contracter sous le nylon du collant et je commençais à la
fesser énergiquement, d’une fesse à l’autre, pour ne pas faire de jalouse, la
paume de ma main droite rebondissant sous les claques d’un globe à l’autre, les
claquant à cadence rapide et chaque fois que ma main tombait à plat sur le
derrière tendu vers moi, la trace de ma paume et de mes cinq doigts
s’imprimaient sur la fesse qui venait d’être corrigée et malgré le collant
opaque, je voyais ses fesses rougir à vue d’œil !!!
Chaque fois que ma
main claquait la croupe de Catherine, le bruit sec de la claque résonnait dans
la pièce close et suivant l’intensité de la claque ou Catherine faisait un
commentaire dans le style « aïe … celle la elle fait mal … ouille, mais ça
chauffe » ou si elle ne disait rien, repliait en bloc ses deux jambes sur
ses cuisses, mais au fil des minutes, Catherine cessa ses commentaires, la
cadence de la fessée s’accélérant, je l’imaginais, serrant les dents, car je la
voyais bien serrer fermement les fesses sous le collant depuis quelques minutes
et elle commençait à battre rapidement l’air des jambes, perdant même un de ses
escarpins, se tortillant en espérant pouvoir échapper aux claques, ses jambes,
ses fesses et sa queue de cheval battant l’air à la cadence des gifles et la
rougeur de ses fesses tranchant sur l’opacité du collant lui gainant cuisses et
jambes !!!
Enfin, elle cria
grâce :
« Arrête s’il
te plaît, arrête, je n’en peux plus, mes fesses sont en feu !!! »
Je respectais la
règle du jeu, je m’arrêtais et Catherine ne perdit pas de temps pour se relever
et après avoir récupéré et remis sa chaussure, elle me fit face, se frottant
énergiquement les fesses à deux mains sous la jupe …
« Bon,
fit-elle, il va falloir quand même rentrer chez nous, mais avant je dois
remettre ma culotte enlevée avant de venir recevoir ma fessée …» Je sortis de
mon bureau pour la laisser remettre ses dessous et reprendre une tenue digne de
parfaite collègue de bureau.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire