B : « Pour tout d’avouer car si tu viens de me raconter tout ceci, c’est que tu as un peu confiance en moi, je vais t’avouer que la fessée est un de mes fantasmes car je n’en ai jamais reçue, même enfant ou adolescente car trop sage, trop petite fille modèle ; j’étais mariée, j’ai essayé de convaincre mon ex, mais cela ne l’intéressait pas ; j’ai bien eu et ai encore quelques aventures, mais je ne sais pas comment réagiront mes amants de passage ; j’ai envie de connaître les sensations d’une bonne fessée, mais aussi de ne pas me faire disputer par Sylvie car tu ne lui diras pas que j’étais déjà bien malade quand je l’ai avertie … à choisir entre la colère de Sylvie et la fessée, je choisis la fessée de ta main … »
A : « C’est si ton choix, pourquoi pas , je te laisse choisir l’heure et l’endroit »
B : « Maintenant, comme ça, on n’en parle plus et l’affaire est close »
Brigitte se lève et se dirige face à moi ; je regarde cette jeune femme de 35 ans, brune, cheveux mi-longs, légèrement maquillée, sagement vêtue d’un pull, d’une jupe noire, les jambes gainées de nylon couleur « chair foncée » et chaussé d’escarpins ; je recule ma chaise et me tapotant la cuisse droite, je lui montre où s’installer ; sans que je l’y oblige, elle s’installe confortablement allongée en travers de mes cuisses, se tenant des deux mains aux pieds de la chaise ; mais jugeant la position inconfortable avec ses escarpins, se relève aussitôt, ôte ses chaussures avant de reprendre sa position; une fois qu’elle est bien en place.
A : « Tu es prête ? Je vais commencer par une fessée classique et si je te fais trop mal, dis le moi. »
Je la maintiens non par la taille d’une main , mais par la hanche droite, tandis que naturellement, je pose mon autre main sur la cambrure de ses reins et instinctivement, je sens ses fesses se resserrer sous le tissu épais de sa jupe.
Sans perdre de temps, ma paume de main droite lui claque une bonne dizaine de fois chaque fesse alternativement, tandis que Brigitte, la tête en bas et les fesses en l’air, jambes repliées sur ses cuisses, éclate de rire.
B : « Si c’est ça une fessée, ça ne fait même pas mal !!! »
Brigitte tournée vers moi, me regarde et sourit, mais je lui précise que ce n’est qu’un échauffement car une « vilaine grande fille », reçoit la fessée jupe retroussée.
A : « Ton « honneur » sera sauf … tu portes un collant sombre !!! »
Toujours en position, moins hilare et un peu plus inquiète, Brigitte m’annonce :
B : « Le soucis, c’est que je ne porte jamais de collant … je ne les supporte pas … je porte toujours des bas … »
Tandis que j’ai commencé à lui retrousser sa jupe, j’arrive à mi-cuisses, je rencontre la lisière des bas et des jarretelles blanches, tendues à l’extrême, ce qui ne m’arrête pas dans mes intentions, découvrant le reste du porte-jarretelles et une ravissante culotte bien échancrée, tous deux blancs, culotte cachant peu de son anatomie.
Brigitte, rougissante, tente de rabattre sa jupe, mais je lui repousse les bras et les mains ; soumise, elle repose les mains au sol. Je maintiens à nouveau Brigitte par sa hanche presque nue cette fois, avec l’envie de jouer avec sa jarretelle, mais ma main droite la fesse à nouveau, encore une bonne dizaine de fois sur chaque fesse ; cette fois Brigitte ne rit plus, poussant à chaque claque un « aïe » ou un « ouille », toujours la tête en bas et les fesses en l’air, mais battant un peu plus vite des jambes entre chaque claque. La démonstration terminée, je m’arrête, tandis que Brigitte, toujours allongée sur mes genoux se masse des deux mains, les deux fesses dont je devine les rougeurs sur les bords échancrés de sa culotte.
B : « ça chauffe … elles sont un peu rouges ??? »
Et joignant le geste à la parole, Brigitte se redressa, je la relâchai et elle en profita pour se relever, s’agenouillant sur ma droite, jupe toujours retroussée sur les fesses, jetant un œil par dessus son épaule et examinant du mieux qu’elle pouvait l’état et surtout la couleur de ses fesses.
B : « Je ne pensais pas qu’une fessée faisait autant de bruit … il faut dire que sans ma jupe, je n’avais que mes fesses pour amortir des claques car ce n’est pas l’épaisseur de ma petit culotte qui a pu me servir de protection … ça fait un peu mal quand même quand ça claque … mais le pire c’est maintenant car j’ai le derrière bien chaud et il me picote … enfin j’ai reçu une fessée et je me coucherai moins idiote ce soir, mais je ne suis pas prête de recommencer, à moins que je la mérite … qui sait !!! »