Voici le récit d'une des fessées administrée à Catherine, non pas la lycéenne de terminale, mais quelques années plus tard à une collègue ingénue !!!
Catherine, collègue de travail, ravissante blonde aux formes pulpeuses, avait passé avec moi un pari dont nous avions quelques mois plus tard, après les vacances d’été oublié l’objet … mais pas l’enjeu, car en effet si elle gagnait, je lui offrirai une glace aux griottes et si elle perdait, je la fesserai, car depuis que nous nous connaissions, la fessée revenait régulièrement dans nos conversations et il faut dire que l’éventualité de recevoir une fessée n’effrayait pas la ravissante ingénue qui avec une bonne paire de fesses, avait de quoi l’amortir du moment que son honneur était sauf !!!
Quelques jours après les congés, Catherine vint me retrouver et me rappela notre enjeu, regrettant de n’avoir pu manger une glace.Mais personne n’avait ni gagné, ni perdu … et puisqu’il n’y avait ni vainqueur ni perdant, tout le monde avait donc gagné : elle recevrait la fessée, une bonne fessée classique et dégusterait ensuite sa glace pendant la pause de midi. Nous décidâmes de nous retrouver, une fois tous nos collègues sortis pour déjeuner.
A midi, Catherine m’attendait au local des archives et une fois tous deux à l’intérieur, referma et verrouilla la porte, derrière nous en me précisant :
« Je veux bien une bonne rigolade entre nous deux, mais je ne veux pas en faire profiter tout le monde ; j’espère que tu n’en parleras à personne ».
Je n’en avais nullement l’intention et lui promettais mon silence.
Derrière les étagères, elle avait placé une chaise, m’avouant être une amatrice de la fessée « sur les genoux », mais qu’elle restait sur sa faim, son mari n’étant pas trop amateur de cette fantaisie. Elle m’invita à m’y asseoir et me fit jurer de la fesser uniquement par-dessus sa jupe, justifiant son choix par cette fin de l’été, qu’elle ne portait pas de collant et redoutait qu’une fois à plat ventre sur mes genoux, jupe retroussée, de se retrouver petite culotte baissée pour recevoir la fessée « cul nu », ce pourquoi, elle ne se sentait pas encore prête … pas tout à fait … promettant mi sérieuse, mi coquine, qu’à l’automne prochain, elle se laisserait peut-être tenté par une fessée jupe retroussée, mais avec un collant bien opaque …
Vu la longueur de la jupe et le tissu léger dont elle était faite, qu’elle le veuille ou non, une fois à plat ventre sur mes genoux et penchée bien en avant Catherine m’offrirait quand même une belle vue plongeante sous sa jupe dont la faible épaisseur n’amortirait pas les claques sur son derrière serré dans le tissu étroit de la jupe.
Elle prit donc position sur mes genoux, à plat ventre, se tenant des deux mains aux pieds de la chaise, les jambes tendues au sol. Sans perdre de temps, la maintenant à la taille d’une main, j’entrepris de la fesser comme elle le demandait, tout en observant que je ne mettais pas trop trompé. Malgré le côté pudique et effarouché de Catherine, j’avais sous les yeux le haut de ses cuisses et les bords en dentelle de sa culotte, car en se penchant trop bien en avant après s’être allongée sur mes genoux, elle n’avait pu empêcher le tissu de la jupe remonter le long de ses jambes et cuisses.
Ma main droite tomba en cadence, alternativement d’une fesse sur l’autre et entre chaque claque, son derrière contracté se tendait sous la jupe pour la claque suivante et la main qui le corrigeait … Catherine gigotait se trémoussait … la jupe remontant plus haut que ses cuisses … j’avais une vue plongeante sur une magnifique paire de fesses que le tissu d’une culotte étroite et tendue avait un peu de mal à contenir, révélant les fossettes des deux fesses, qui rougissaient à vue d’œil.
Sous l’intensité et le rythme de la fessée, Catherine battait des jambes, sous chaque claque et au bout de longues minutes et plusieurs paires de claques, elle me demanda d’arrêter puisque j’avais gagné mon pari, c’était à son tour d’avoir le sien et de nous rendre au restaurant pour qu’elle y déguste une glace aux griottes, dont ses fesses devaient avoir, je suppose, la même couleur.
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