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samedi 12 novembre 2011

Récit d'Alain : Catherine s’offre une bonne fessée finale dans les règles de l’art !!!

Catherine s’offre une bonne fessée finale dans les règles de l’art !!!

Quelques semaines avant mon départ définitif de l’Est de la France, pour gagner après les congés d’hiver le grand Ouest, au cours d’une pause café, Catherine m’annonça très sérieuse qu’avec mon départ, elle ne connaîtrait jamais la joie d’une bonne fessée jupe retroussée et culotte baissée, comme une « sale gamine » !!!
Je lui répondais qu’elle aurait du se décider plus tôt, vu que mon départ était imminent en fin de semaine … elle m’invita avant cette fin de semaine, de nous échapper pendant la pause du déjeuner et d’aller  non pas chez elle, mais chez une de ses copines absente car en stage et dont elle avait les clés du studio pour en soigner les plantes … aussi ravi qu’elle, j’acceptais et nous fixions cette « entrevue » au dernier jour de la semaine, le vendredi.
Le vendredi arriva et Catherine me communiqua l’adresse de l’appartement où tous deux devions nous retrouver devant l’entrée et comme cela n’était guère éloigné de nos bureaux … en quelques minutes nous étions rapidement sur place et devant la porte de l’appartement. A cette heure du déjeuner, aucun bruit dans la case d’escalier, l’immeuble était désert. Catherine ouvrit la porte de l’appartement, s’y engouffra et je la suivais. C’était un petit deux pièces dans lequel on accédait via un petit couloir bordé de placards, puis par une nouvelle porte, on arrivait dans la pièce principale, meublée d’une table ronde et de deux chaises et aussi d’un canapé.
Catherine referma l’entrée principale, puis la porte du couloir et une fois dans cette pièce, elle fit ce qu’elle devait faire, c'est-à-dire arroser les plantes de sa copine et une fois ceci terminé, elle tira les double rideaux, pour plonger la pièce dans une semi obscurité, mais surtout pour éviter la vue de la scène qui allait se dérouler depuis les fenêtres des immeubles voisins.
Elle m’avoua qu’elle avait fortement envie de cette dernière fessée et qu’elle souhaitait être confortablement installée pour la recevoir et plutôt que se retrouver plaquée sur mes genoux, tête en bas, jambes pendantes et fesses en l’air ; elle préférait être fessée sur le canapé vers lequel elle se dirigea et prêt duquel elle alluma une lampe d’ambiance, pour que je puisse contrôler l’évolution des rougeurs et ne pas en perdre une miette, m’annonça-t-elle avec un sourire coquin.
Je m’installais donc sur le canapé et Catherine après avoir ôté ses escarpins, s’agenouilla sur le canapé, sur ma droite, avant de s’installer confortablement à plat ventre en travers de mes cuisses, jambes relevées et coudes en appui sur les coussins, buste relevé.
Je posais ma main droite sur ses jambes gainées de nylon noir et en glissant le long, je pris tout mon temps pour retrousser sa robe noire qui heureusement n’était pas moulante. Lorsque j’arrivais à la cambrure de ses reins, passant l’obstacle de ses hanches, je pus rabattre le bas de sa robe sur sa taille, découvrant ses fesses encore protégées par le collant. 
Catherine s’allongea alors, joue contre le coussin et m’encouragea à continuer. Je pris alors le collant à deux mains sur les bords et le baissait lentement, attrapant par la même occasion les bords de la culotte et fit glisser le tout pour le baisser juste sous ses fesses, Catherine se souleva, décollant son ventre de mes cuisses comme pour m’aider à franchir plus facilement l’obstacle de ses hanches en exposant son derrière potelé blanc laiteux, mis en valeur par le noir de la robe retroussée à la taille et le noir du collant gainant ses cuisses, juste sous ses fesses.
Déculottée, les fesses à l’air au milieu du salon, confortablement installée en travers de mes cuisses sur le canapé, Catherine se recoucha à plat ventre et attendit. De ma main gauche, je saisissais sa hanche gauche et posais la paume de ma main droite sur sa fesse droite, encore tiède de la chaleur du collant, mais qui se contracta sous ma main Catherine serra les fesses, au point que la fente généreuse qui les séparait fut si étroite que l’on aurait pas pu y glisser un doigt … le duvet blond de ses fesses généreuses se hérissa … pourtant il faisait chaud dans la pièce … au lieu de commencer à la fesser, je lui caressais une fesse, puis l’autre, comme pour les apprivoiser … au bout de quelques caresses, Catherine saisit de sa main droite, ma main qui la maintenait au niveau de la hanche, souleva un peu ses hanches de mes cuisses pour tendre ses fesses potelées vers la fessée qui se faisait trop attendre et me murmura :
« Fesse moi comme une sale gamine … … vite !!! »
La première claque tomba sur sa fesse droite et sous l’impact Catherine se tendit … une première claque suivit d’une autre  … jusqu’au nombre de cinq, avant  que je change de fesse et lui applique le même traitement … plus les claques tombèrent, plus Catherine me serrait la main ; je me décidais de prendre une cadence rapide d’une vraie bonne fessée, claquante et cuisante et c’est alternativement, d’une fesse à l’autre, que je me mis à la fesser à cadence soutenue, les fesses musclées de Catherine qui accompagnait chaque impact sur sa croupe tendue et ferme d’un « aïe » ou d’un « ouille » … les minutes passaient, rythmées par le bruit des gifles s’abattant sur une croupe qui rougissait de plus en plus à vue d’œil et dont la ravissante propriétaire poussait moins de cris de douleur, préférant mordre dans le coussin du canapé, tout à battant des jambes, de plus en plus vite … et malgré la semi obscurité de la pièce, ne perdant pas une vue du derrière de Catherine, dont le rouge de plus en plus intense tranchait sur  le noir de la robe et aussi des cuisses gainées du collant,.
Catherine ne serrait plus les fesses aussi fermement que lorsqu’elle attendait provocatrice que la fessée et plus la fessée durait, plus ses fesses rougissaient, mais aussi plus la paume de ma main commençait aussi à chauffer … Catherine ne criant pas grâce, le visage toujours enfui dans le coussin, je continuais à lui fesser avec plaisir et entrain, faisant toujours autant d’énergie et de rapidité ce bon derrière dont les deux fesses qui sous les claques rapprochées, tressautaient dans tous les sens , sa propriétaire se débattant en travers de mes cuisses alors que je la maintenais fermement par la taille … Catherine se décida à tourner la tête vers moi et tout en me prenant la main gauche qui lui serrait la taille et me supplia d’arrêter :
« Arrête …  je t’en prie, arrête …!!! »
Je lui administrais encore quelques bonnes claques histoire de lui faire comprendre que si cette fessée, c’est elle qui l’avait réclamée, qu’elle était aussi dans une tenue et une position désavantageuse pour qu’elle réclamait …
« je n’en peux plus … arrête s’il te plait … mes fesses vont prendre feu »
Je m’arrêtais … je passais ma main sur les deux fesses bien rouges … Catherine, les yeux humides, échevelée, récupérait de cette bonne fessée, prostrée les fesses à l’air, allongées en travers de mes cuisses sur le canapé … je voulus lui remettre son collant et rabattre sa robe sur les fesses, mais elle refusa, préférant attendre que ses fesses retrouvent une température normale et lui frôlant à nouveau les fesses, je pus constater qu’elle n’exagérait pas et que ses rondeurs étaient non seulement écarlates, mais aussi brûlantes…. nous ne pouvions rester ainsi, à attendre que ses fesses reprennent une couleur et une température normales, il fallait retourner au bureau, le trajet, les préparatifs de la fessée et la fessée proprement dite ayant duré presque toute l’heure du déjeuner. Catherine se redressa à genoux à mes côtés, collant non remonté, ses mains sous sa robe et se massant énergiquement les fesses comme pour les rafraîchir … elle se releva, remonta sa culotte sur ses fesses en grimaçant, ôta son collant qu’elle fit disparaître dans son sac à main dont elle sortit une paire de bas noirs auto fixant qu’elle enfila  devant moi …
« J’ai déjà du mal à supporter le contact de ma petite culotte, alors avec un collant par-dessus, je ne t’explique pas … heureusement que mon mari est en déplacement car sinon je ne sais pas comment je pourrais justifier mes fesses cramoisies !!! »
Nous retournâmes ensemble au travail, Catherine me faisant des commentaires sur l’arrière saison et le vent s’engouffrant sous sa robe, permettant ainsi à sa partie charnue de refroidir un peu plus rapidement.
« D’habitude à cette saison, je mets rarement des bas car j’ai froid aux fesses … aujourd’hui ce n’est pas le cas !!! »

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