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jeudi 15 septembre 2011

Les récits d'Alain : L'art de prendre en main sa secrétaire particulière ..


Au début des années 90, j’ai partagé pendant cinq années le même bureau que Martine qui était ma secrétaire attitrée. C’était la secrétaire idéale, mais elle avait un gros défaut : celui de fumer cigarette sur cigarette, profitant de mes absences pour enfumer le bureau. 
Nous en avions déjà parlé et Martine m’avait demandé de l’aider à ralentir sa consommation de tabac. J’avais tout essayé, lui faisant calculer ses dépenses en tabac pour lui montrer tout l’argent qui s’envolait en fumée, lui confisquant cigarettes ou briquet…, mais rien n’y faisait ! Un jour, en plaisantant autour d’une tasse de café, je lui affirmai que je ne voyais plus qu’une solution si je la surprenais encore à fumer : la fessée, une vraie bonne fessée classique, jupe retroussée, dans le même style que celles que ma femme recevait lorsque nous étions jeunes mariés et qu’elle me raccrochait au nez au cours d’une conversation téléphonique ou lorsqu’elle faisait des chèques sans provision. Ceci fit bien rire Martine qui  se vanta même que j’aurais mal aux mains avant qu’elle n’ait mal aux fesses car avec toute la gymnastique et la natation qu’elle pratiquait, ses fesses étaient musclées et de plus, elle n’hésiterait pas à les serrer !
Un soir, rentrant de réunion, je découvris dans une atmosphère enfumée, Martine assise jambes croisées, fumant sa cigarette, qui m’attendait pour évaluer son travail du lendemain. Je lui donnai quelques explications et au moment de partir, je lui rappelai les termes de notre contrat sur sa cure anti-tabac et lui annonçai qu’elle venait de gagner la fessée qui était en sursis depuis plusieurs semaines, ce qui ne sembla ni l’impressionner, ni la terroriser. Martine portait un pull sur une jupe noire assez courte, ses longues jambes étaient gainées de nylon noirs, bas ou collant, ce serait la surprise !!! Je m’assis sur le bord de son bureau, l’attirai à moi et la renversai sur mes genoux, elle bascula vers l’avant, sa poitrine contre le bureau, se tenant au bord du même bureau, les jambes pendant dans le vide. Tout en la maintenant par la taille, je lui rappelais les termes de notre contrat et remontai sa courte jupe moulante au dessus de la cambrure de ses reins, remarquant avec un certain regret qu’en guise de bas, elle portait un collant noir, dissimulant à peine une ravissante petite culotte noire, elle aussi. En guise de protestations, Martine me demanda de ne pas trop froisser sa jupe et de veiller à ne pas filer son collant, n’en ayant pas de rechange !!! Cela la fit rire légèrement de se retrouver troussée sur mes genoux, m’offrant une vue imprenable depuis ses escarpins, jusqu’à ses hanches.
Sans attendre, je lui claquais énergiquement et alternativement chaque fesse ... Les premières claques la surprirent, car malgré l’épaisseur du collant, je devinais la mollesse des fesses, mais rapidement Martine se ressaisit et je pus en direct voir ses fesses se contracter sous le collant opaque … Au bout de quelques minutes et plusieurs dizaines de claques bien assénées, Martine commença à moins rire et émit des « aïe », « ouille », tout en tortillant des fesses entre chaque claque … Depuis mon point de vue plongeant, non seulement je voyais ses fesses rosir, puis rougir, tressauter sous chaque impact de la paume de ma main, fesses qu’elle contractait de moins en moins fermement, tandis qu’elle serrait de plus en plus le bord du bureau de ses deux mains, cambrant des jambes et des hanches chaque fois qu’une claque tombait sur ses fesses … Au bout de longues minutes et plusieurs dizaines de paires de claques, elle demanda grâce m’expliquant qu’elle avait le « rouge qui lui montait au front ». Je ne voyais pas son front, mais malgré ses dessous opaques, je constatais que le rouge envahissait toute la surface de ses rondeurs. Je concluais par quelques claques bien senties et rapides, la surprenant et provoquant encore plus de ruades et battements de jambes, avant d’arrêter et de l’inviter à se relever. Martine se releva sans faire de commentaire, les joues aussi rouges que ses fesses, rabattant sa courte jupe sur ses rondeurs, mais en se les frottant quand même à deux mains sous le tissu.


Quittant ensemble le bureau en ce soir d’hiver, une fois à l’extérieur, elle me fit ce commentaire :
 
« j’ai les pieds gelés, mais qu’est-ce que j’ai chaud aux fesses !!! »
 
Je pensais que cette fessée claquante et cuisante, allait la faire réfléchir sans penser que quelques mois plus tard …  

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