Contact

lundi 5 septembre 2011

Les récits d'alain : ou ce que cela coûte à 14 ans de regarder sous les jupes de la voisine âgée de 25 ans !!!/


Collégien, à l'age de 14 ans, je passais une partie des vacances, chez mes grands-parents ! Ces derniers logeaient dans une grosse  maison de ville occupée au rez de chaussée par les propriétaires, puis le 1er étage par mes grands parents, et enfin le second étage partagé entre un grenier et un studio occupé par une jeune voisine, Josette, célibataire, coiffeuse en ville, agée entre 25 et 30 ans, et une chambre où je faisais mes devoirs et dormais lorsque je séjournais chez eux !
Chaque fois que je me trouvais en même temps que cette voisine au niveau des escaliers, je la laissais prendre de l'avance pour jeter un coup d’œil sous ses jupes très courtes et apercevoir la lisière de ses bas et ses jarretelles ! En ce début des années 70, Josette n'avait pas encore opté pour le collant !
  Une fin d'aprés-midi, alors que mes grands parents s'étaient absentés, et que je revenais d'une séance de sport, je montais une nouvelle fois derrière Josette qui portait ce jour-là une robe courte sous laquelle, 3 ou 4 marches plus bas, j'avais une superbe vue sur ses jambes gainées de bas nylon gris, et la suivais jusqu'au second étage, profitant de l'occasion !
  Alors qu'à mon tour, j'arrivais sur le palier, elle venait d'ouvrir la porte de son appartement puis se retourna et, croisant les bras, elle me regarda .
 Je lui donnais le bonjour auquel elle ne répondit pas, mais m'annonça : -" Tu crois que je n'ai pas remarqué ton petit manège depuis le temps que tu montes derrière moi ? Entres chez moi car j'ai deux mots à te dire !"
  Intimidé et rougissant, je gravissais la dernière marche et, parvenu à son niveau, elle me saisit par le poignet et me fit la suivre dans le couloir de son appartement dont elle referma et verrouilla la porte derrière nous !
  Une fois dans le salon, après avoir posé son sac sur la table, elle me lacha, et, prenant une chaise, l'installa au milieu de la pièce pour s'y asseoir !
Puis elle me fit signe de m'approcher ! Une fois devant elle, elle me fit passer sur sa droite, et, me tenant par les hanches, déboutonna mon short, me le baissa jusqu'aux genoux , puis me fit basculer à plat ventre sur ses cuisses, tête en bas, maintenu fermement par la tailla pour que je ne m'échappe pas !
     -" Je crois que tu n'as jamais autant vu mes cuisses Qu'aujourd'hui ! Tu as eu raison d'en profiter car à ton tour de me montrer les tiennes !"
  Et sans me laisser le temps ni de protester, ni de m'excuser, elle saisit l'élastique de mon slip qu'elle tira vers le bas, me déculottant généreusement, et me cala sur ses cuisses afin que mes jambes ne touchent pas le parquet !
  Une fois en bonne position, plaqué contre le nylon de ses bas ( sa jupe étant généreusement retroussée sur ses cuisses ) elle m'annonça ses intentions que j'avais malheureusement devinées !
        -" Bien que tu ne sois plus un enfant, je vais te donner la fessée pour t'apprendre à regarder sous mes jupes ! Et, crois moi, cette fessée saura t'en faire passer l'envie !"
  Et la fessée commença !      Josette me claquait les fesses et mes pauvres fesses tressautaient sous la violence des gifles !
  Ca me chauffait !
     Après une longue série de claques, dont Josette ne changeait en rien l'intensité, mais plutôt le rythme, soit en les espaçant, soit en les rapprochant, je cherchai à protéger mes fesses, mais elle m'en empêcha en me saisissant les deux poignets !
     Et les claques retombèrent, rapides en cadence d'une fesse à l' autre, sous mes cris, tandis que je commençais à pleurer !
   Au bout de longues minutes, Josette m'annonça :
-" Voilà ! C'est terminé !"
     Et, me libérant les poignets, elle me fit relever, les yeux embués de larmes, et me frottant généreusement les fesses à deux mains !
   Puis Josette  me saisit le menton, me regarda dans les yeux, et levant son index, m'ordonna :
 -" Files au coin, mains sur la tête !"
 Je restais ainsi de longues minutes, pleurnichant de douleur et de honte d'avoir été ainsi  déculotté et fessé par une jeune femme !
  
-" Maintenant, tu peux te reculotter, mais... que je ne t'y reprenne plus car la prochaine fois, ce sera pire !"

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire