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vendredi 30 septembre 2011

Récits d'Alain : qui paie ses dettes, s'enrichit avec les fesses rouges !!!


A l’examen des relevés bancaires reçus ce samedi matin, je m’aperçus que Sylvie avait fait là un chèque sans provision … une belle somme … je lui demandais quelques explications.
Sylvie avait tout simplement lors d’un passage à la banque avait signé un virement et en même temps rédigeait un chèque du même montant, sans s’en apercevoir et de toute façon j’aurais du m’en apercevoir affirma-t-elle … mais ce jour-là, je ne l’avais pas accompagnée à la banque …c’en était trop et il était grand temps qu’elle sache qu’à presque 30 ans ce qu’était une vraie bonne fessée qui lui enflammerait le derrière au point que le contact de sa culotte et de sa jupe lui rappellerait de longues minutes encore après et la ferait réfléchir !!!
La matinée et l’après-midi se déroulèrent normalement … nous devions sortir ce samedi soir et Sylvie me demanda de conclure avant notre soirée plutôt qu’après … elle était vêtue d’une ravissante robe noire pour la soirée à venir . Je m’installais dans le salon, au milieu du canapé où j’avais décidé de m’installer pour la fesser car la fessée devant être longue, autant profiter de bonnes conditions de confort, autant pour elle que pour moi … Sylvie me rejoint dans le salon, se dirigea vers la fenêtre pour en tirer les doubles rideaux … alluma une lampe d’ambiance et retourna vers la porte où les mains croisées dans le dos et l’air penaud, elle attendait !!! je lui dis de s’approcher du canapé, de retrousser sa robe jusqu’à la taille et de baisser sa culotte avant de s’allonger en travers de mes genoux … elle s’approcha … s’agenouilla sur le bord du canapé, sur mon côté droit … mais refusa de remonter sa robe et de se déculotter … mais se pencha et de se coucha sur mes genoux … je passais ma main sous la robe que je retroussais généreusement au-dessus de sa taille, puis la main sous l’élastique du collant et Sylvie me facilita la tâche en prenant  appuis sur ses genoux et soulevant son bassin  … je la déculotte donc généreusement, baissant le collant et la culotte jusqu’à mi-cuisses … je lui serrais la taille … je vis ses fesses se contracter … se serrer si fortement que les deux globes fessiers se rejoignaient … sans perdre de temps commençais à la fesser … intensément … longuement … sérieusement … sans faiblir … de longues minutes … sans perdre de vue la paire de fesses que j’avais sous les yeux, changeant de couleur sous les claques … passant du chair clair au rose clair … où ma main s’imprégnait de ses cinq doigts au fur et à mesure … puis du rose au rouge … puis du rouge clair au rouge foncé …observant mon « ouvrage » … plus le temps passait, plus les fesses tressautaient sous les claques … Sylvie avait le visage plongé dans les coussins et tenait des deux mains l’accoudoir du canapé … les claques continuaient à tomber, à crépiter… pas un cri … pas un mot … pas un battement de jambes … je ne mesurais pas le temps, ni comptais les claques… quand la paume de ma main devint brûlante, je décidais de m’arrêter, aussi brusquement que j’avais commencé … Sylvie se releva … les yeux embués de larmes … quitta le salon, se frottant le derrière des deux mains par-dessus la robe… retourna dans la chambre d’où elle revint quelques minutes plus tard et remontant sa robe sur ses hanches, me tendit ses fesses écarlates et en baissant collant et culotte pour m’annoncer :
S : « je me vengerai !!! »

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